Nando De Colo, lEspagnol
Allez-vous être confronté samedi soir à des formes de jeu que vous connaissez bien après un an dans le championnat espagnol ?
On retrouve surtout des formes du jeu qui sont celles du Barça et du Real. Ensuite il y a surtout la complicité entre des joueurs qui jouent ensemble depuis longtemps.
En jouant l’Espagne d’entrée, le risque est-il de se dire que votre Mondial ne débute réellement que dimanche face au Liban ?
Non, justement, il faut absolument qu’il commence samedi. Victoire ou défaite, la manière dont nous allons aborder la compétition est extrêmement importante.
La France se pose-t-elle encore de nombreuses questions sur son identité de jeu après une préparation délicate au niveau des résultats et du basket proposé ?
On va voir très vite où nous en sommes. Je trouve que désormais on comprend mieux ce que le staff attend de nous, moi y compris. Au début nous avions du mal à défendre ensemble et en revoyant les bases sur lesquelles il faut s’appuyer, on progresse.
D’un point de vue personnel, comment vous sentez-vous ?
Au début je cherchais à faire jouer l’équipe. Nous avons beaucoup discuté avec Vincent Collet qui a souligné l’importance de jouer également pour moi à l’image de ce que je peux faire avec Valence pendant la saison. Maintenant que tout le monde maîtrise mieux les systèmes de jeu, je pourrais tenter de m’exprimer en première intention si l’opportunité se présente.