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Battue mais deuxième

Corps: 

La victoire de la Turquie sur le Brésil en double prolongation, juste avant le coup d’envoi du match avait simplifié la donne pour les Bleues qui bénéficiaient d’une certaine marge, y compris dans la perspective d’une défaite, pour conserver leur deuxième place de la poule.

L’adversaire du jour, le Japon, est une valeur montante du basket mondial et le nouveau roi d’Asie. En 2015, en Chine, les Nippones avaient administré une fessée monumentale aux hôtes des lieux (+35) pour se qualifier aux Jeux. Et en début de préparation, elles avaient dominé les Bleues à Angers. Valérie Garnier ne se trompait donc pas en louant les qualités des joueuses de Tomodide Utsumi : "Le Japon est une équipe qui cumule des qualités d’adresse et de passes en ayant maintenant un jeu inspiré de l’Europe, des Etats-Unis et de l’Australie. Alors qu’avant elles avaient un jeu japonais. Cela en fait un challenger important."

L’Equipe de France était donc prévenue mais a néanmoins connu toutes les peines du monde à contrôler le basket des Japonaises. Des écrans en pagaille, de l’agressivité, du tir de loin, leur attaque requiert une attention de tous les instants et la capacité à tenir les duels. Pas forcément le cas sur la surprenante Sanae Motokawa qui trouvera le moyen de passer 17 points à ses vis-à-vis, provoquant au passage bon nombre de fautes. Des irrégularités qui ont envoyé avec constance les Japonaises sur la ligne, un exercice dans lequel elles ignorent le concept de déchet (13/13 à la pause). Les Bleues ont ainsi passé l’intégralité de la première mi-temps à courir après le score, profitant de leur avantage physique pour dominer le rebond et s’offrir des paniers faciles près du cercle.

La tendance va s’accentuer au retour des vestiaires avec le lancement d’un concours de tirs lointains pas forcément favorable à la France, malgré les efforts dans le domaine d’Olivia Epoupa et Amel Bouderra. Lorsque Kaede Kondo commence à prendre feu puis que la capitaine et meneuse Asami Yoshida rentre deux tirs extérieurs avec la planche en fin de troisième quart-temps, on se prend à ressortir les calculettes afin de déterminer avec précision jusqu’où le tableau de marque peut s’affoler (54-63). Son succès 55-39 en ouverture face à la Turquie permettait aux Bleues de pouvoir conserver leur deuxième place de la poule à condition de ne pas s’incliner de plus de 14 unités. Un écart conséquent mais que les nombreuses balles perdues ont rendu tout à coup bien plus réaliste (58-70, 36e). La deuxième place de la poule sera néanmoins préservée grâce à une interception d’Olivia Epoupa et un tir primé de Marine Johannes dans la dernière minute. Reste à regarder le Canada-Espagne de demain pour connaître l’adversaire des Bleues en quart de finale.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Dimanche, 14. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Battue par le Japon (71-79), l’Equipe de France féminine termine malgré tout à la deuxième place de sa poule à la faveur du point average. Elle affrontera, en quart de finale, le perdant du match entre le Canada et l’Espagne disputé demain.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Retour aux affaires

Corps: 

17,8 points et 8,2 rebonds de moyenne. Deuxième marqueuse et quatrième rebondeuse de l’EuroBasket 2015. C’est le type de production à laquelle Sandrine Gruda avait habitué ses coéquipières. Gênée par les blessures cette saison, la 7e marqueuse de l’histoire de l’Equipe de France était en souffrance depuis plusieurs semaines. Mais face à l’Australie, les premiers signes d’amélioration étaient perceptibles. Jeudi soir, contre le Brésil, Gruda s’est fendue d’un double-double (17 pts, 10 rbds), retrouvant définitivement le sourire et le transmettant à son entraîneur. "Sandrine comme ça, change l’équipe", estime Valérie Garnier. "Elle s’est centrée sur le fait de se faire respecter en défense et sur le rebond pour ensuite lâcher prise en attaque. Elle n’a pas joué pendant six mois et il y a beaucoup de choses à retrouver : le terrain, la confiance."

Désormais utilisée en sortie de banc, la Martiniquaise a attendu son heure, expédié les questions sur son rendement personnel et finalement trouvé la lumière : "Il a fallu être patiente, il a fallu persévérer. Aujourd’hui je me sens de mieux en mieux et je suis contente." A quelques mètres d’elle, en zone mixte, Endy Miyem souriait à l’évocation du retour aux affaire de sa compère de la raquette. "Nous savions toutes que c’était là…" Quelques fade-away typiques de son arsenal offensif, des jaillissements au rebond, un contre monumental sur Souza et plus globalement une aisance et une fluidité plus conformes à ses habitudes, ont confirmé ce sentiment. "Leur confiance en moi était capitale. Elles m’ont porté jusque-là. C’est important d’être bien entourée", glisse Gruda à propos de ses coéquipières, évacuant rapidement sa légère frayeur lorsque sa cheville tournera au cœur du troisième quart-temps : "J’ai connu pire. C’est accessoire. Je me suis arrêtée. Même si on prend deux points, parfois il faut savoir s’arrêter."

Après quatre rencontres, l’Equipe de France a son billet en poche pour les quarts de finale, avec une sérieuse option sur la deuxième place de la poule. Son application défensive est de retour et sera nécessaire pour ralentir des Japonaises qui carburent à 76,8 points de moyenne et ont poussé les Australiennes dans leurs derniers retranchements. Une équipe modèle réduit et contre laquelle la géante australienne Liz Cambage a réalisé un véritable massacre (37 pts, 10 rbds). La perspective de poursuivre sa renaissance pour Gruda ?

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Vendredi, 12. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
En difficulté depuis le début de la campagne 2016, Sandrine Gruda a retrouvé des sensations face au Brésil avec un double double dominateur.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Les quarts en poche

Corps: 

La quatrième journée du tournoi féminin promettait de figer un peu plus les positions dans le groupe A. Pour le Brésil, il s’agissait même du match de la dernière chance. Défaites à trois reprises jusqu’à présent, les hôtes des lieux n’avaient donc plus qu’une alternative pour ne pas quitter leurs Jeux Olympiques dès le premier tour. Une pression supplémentaire qui allait, comment ne pas s’y attendre, offrir un supplément d’âme à une équipe en grande difficulté depuis le début du tournoi. Troublant mimétisme, 48 heures après le show Penny Taylor, les Bleues ont été à nouveau victime d’une spectaculaire poussée de fièvre individuelle. Damiris Dantas a fait parler la poudre, passant 12 points à 5/5 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs lors des dix premières minutes. Elle fera, à elle seule ou presque, monter l’écart à +7 (12-19). Mais le Brésil a payé, depuis le début du tournoi, un certain laisser-aller défensif et les Tricolores vont parfaitement l’exploiter, par Endy Miyem par exemple, ou par Amel Bouderra, totalement seule pour équilibrer les débats à la fin du premier quart-temps.

En insistant à l’intérieur sur Souza puis en retrouvant Dantas, le Brésil reprendra temporairement sa marche en avant, profitant d’un passage moyen des joueuses du banc pour se donner un peu d’air (24-29). C’est le moment que choisissaient les Bleues pour largement hausser leur investissement défensif. Comme souvent Olivia Epoupa donnait le ton par sa vitesse et son extraordinaire capacité à perturber le bon ordonnancement des systèmes adverses. De quoi signer un 11-0 autoritaire en cinq minutes (35-29).

Mardi soir, à l’issue de la défaite contre l’Australie, Valérie Garnier se félicitait du rendement en hausse de Sandrine Gruda. Jeudi, la future intérieure de Fenerbahçe a confirmé son renouveau. Un tir retrouvé, une présence imposante au rebond, un contre plein d’autorité. C’est son impact et le rendement de Laetitia Kamba qui feront la différence au cœur du troisième quart-temps, avant que Gruda ne se tourne légèrement la cheville et ne soit contrainte de sortir (50-37, 27e).

Bien en place offensivement, adroites de loin à l’image de Gaëlle Skrela, auteur de son record en carrière (18 pts), inspirées dans le partage du ballon, dominatrices près du cercle, les Françaises ont continué à dérouler efficacement leur basket, n'étant à aucun moment inquiétées. Elles s'assurent ainsi d'une qualification en quarts de finale. Reste désormais à déterminer dans quelle position : 2, 3, 4 ? Réponse samedi face au Japon.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Jeudi, 11. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
L’Equipe de France féminine s’est qualifiée pour le top 8 olympique en dominant le Brésil (74-64). Elle jouera la deuxième place de la poule samedi face au Japon.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Kamba vit son rêve

Corps: 

Elle a bondi comme les autres pour enlacer Endy Miyem après son tir victorieux face à la Biélorussie. Laetitia Kamba n’était pas entrée en jeu samedi et dimanche mais comme elle le souligne dans un grand sourire, "je le vis très bien". A 29 ans, celle qui a longtemps flirté avec le maillot bleu sans parvenir totalement à s’imposer, profite de chaque instant de sa première véritable campagne internationale. Et face à l’Australie, Laetitia Kamba a eu l’occasion de s’exprimer dans une rencontre qui a rapidement échappé aux Bleues malgré ses efforts pour apporter de l’énergie et de l’intensité à une équipe qui avait oublié quelques-uns de ses principes défensifs au vestiaire. "On a laissé passer des choses qu’il ne fallait pas faire. Des consignes à respecter ne l’ont pas été. On sait pourtant que ce sont des filles fortes en transition contre lesquelles il faut assurer le repli. Taylor est une grande joueuse mais nous avons vraiment mal défendu. Le physique on l’a. C’est de la concentration." De 39 points en ouverture à 89 quatre jours plus tard, le delta est gigantesque et l’investissement méritera d’être corrigé face au Japon.

Entrée en jeu dès le premier quart-temps, Kamba a livré une prestation intéressante dans l’optique de la suite du tournoi. Avec 6 points, 4 rebonds et 1 interception en 18 minutes elle a su ne pas se laisser submerger par l’émotion en entendant Valérie Garnier appeler son nom pour la première fois. "La coach a confiance donc il faut donner le meilleur de soi-même", commente-t-elle sobrement. "C’est un rêve qui se réalise. Après j’essaye de rester concentrée sur les matches. On ne vit qu’une fois ces moments-là. C’est au-dessus de tout. Je n’ai d’ailleurs pas de mots tellement c’est énorme. L’émotion est immense quand je rentre ou que je chante l’hymne."

 

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Mercredi, 10. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Restée sur le banc lors des deux premiers matches, Laetitia Kamba a lancé son tournoi olympique face à l’Australie. Avec émotion mais efficacité.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Punies par Penny

Corps: 

L’Australie est une machine à collectionner les médailles en basket féminin et l’objectif de la cuvée 2016 est à nouveau de monter sur le podium. Le test était donc de taille pour l’Equipe de France, comme celle de Liz Cambage. 2,03 m sous la toise et le profil idéal de l’arme fatale depuis le début du tournoi. Abreuvée de ballons pendant les premières minutes, la géante va imposer son physique près du cercle pour donner le ton. Mais c’est finalement sans elle et dans un style beaucoup plus en finesse que l’Australie va faire le trou.

Absente des Jeux de Londres sur blessure, Penny Taylor, a annoncé qu’elle prendrait sa retraite dans quelques semaines. Mais à 35 ans elle a encore beaucoup de basket en elle. L’ailière, championne du monde 2006 et double médaillée d’argent olympique, a survolé de toute sa classe la première mi-temps. Un écœurant sentiment d’aisance et de facilité qui aboutira à une ligne de statistiques surréaliste : 17 points à 5/5 aux tirs, 5/5 aux lancers-francs et 4 passes décisives. C’est elle qui provoquera le premier décroché (11-19) puis qui lancera un terrible 0-15 en début de deuxième quart-temps. Six longues minutes où les Bleues resteront désespérément muette, trahies par leur adresse (5/25 à cet instant), parfois même à quelques centimètres du cercle (19-36).

Le semblant de révolte initié, comme souvent, par la capacité à voler des ballons et à donner du rythme d’Olivia Epoupa, était rapidement annihilé par Taylor, Taylor et encore Taylor… Avec un zeste de réussite de loin de ses coéquipières et l’exploitation des absences défensives françaises (de 47-60 à 49-69). Malgré le succès face à la Biélorussie, Valérie Garnier avait souligné que les 72 points encaissés dimanche constituaient une vraie source d’inquiétude. Battues dans les duels, légères sur le repli défensif et en grande difficulté sur les pick n’roll les Bleues sont loin de leurs standards habituels.

Offensivement, si elles n’ont pas encore retrouvé l’impact attendu du duo Yacoubou-Gruda, elles ont en revanche eu la (maigre) satisfaction de l’apport que peuvent constituer, depuis le banc, Laetitia Kamba ou Marielle Amant. Mais à la Youth Arena il y avait bien une classe d’écart entre deux équipes présentes sur le podium de Londres en 2012.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Mardi, 9. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Trois jours après le revers des masculins, les féminines ont subi le même sort face à l’Australie. Une large défaite (89-71) contre une équipe qui rêve de finale olympique et portée par une exceptionnelle Penny Taylor (40 d’évaluation)
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB
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De la LFB à Rio

Corps: 
Sur les 144 joueuses qui foulent en ce moment le parquet de la Youth Arena de Rio, et celui de l'Arena Carioca pour les phases finales, 39 d'entre elles (dont les 12 Françaises) sont passées par la LFB (soit 27.1% en incluant les Tricolores ou 20.5% sans elles). La palme du pays comptant le plus d'athlètes passées par la France revient au Canada et au Sénégal avec 6 représentantes, soit la moitié de leur effectif.
 
Peuvent également s'ajouter à ce décompte l'Australienne Rachel Jarry et la Brésilienne Clarissa Santos qui évolueront respectivement à Lattes Montpellier et Bourges la saison prochaine.
 
Les joueuses (hors Équipe de France) présentes aux Jeux Olympiques 2016 et passées par la LFB
 
Pays Joueuses Clubs LFB et saisons
Australie (4) Cayla GEORGE (FRANCIS) Aix 12-13, Nantes Rezé 13-14
  Laura HODGES Bourges 15-16
  Leilani MITCHELL Arras 08-12
  Marianna TOLO Aix 12-13, Bourges 13-15
Biélorussie (3) Tatsiana LIKHTAROVICH Arras 12-13, Tarbes 2014
  Katsiaryna SNYTSINA Lattes Montpellier 2014
  Tatiana TROINA Nantes Rezé 12-13
Brésil (3) Iziane CASTRO Aix 02-03, Villeneuve d'Ascq 2008
  Adriana MOISES Lattes Montpellier 2007
  Kelly SANTOS Bourges 02-03, Aix 2007
Canada (6) Miranda AYIM Toulouse 13-15, Basket Landes 15-16
  Kim GAUCHER Tarbes 12-13, Arras 2014, Mondeville 15-16
  Lizanne MURPHY Tarbes 2012, Aix 12-13, Angers 13-16
  Michelle PLOUFFE Arras 14-15, Mondeville 15-16
  Katherine PLOUFFE Nantes Rezé 15-16
  Shona THORBURN Aix 12-13, Toulouse 13-14, Hainaut 2014,
Nantes Rezé 15-16
Espagne (1) Laia PALAU Bourges 04-06
Sénégal (6) Bintou DIEME 7 clubs LFB
  Fatou DIENG Bourges 98-03, Valenciennes 03-04, Aix 04-05,
Perpignan 10-14
  Aida FALL Valenciennes 04-05, Calais 06-07, Challes 08-10
  Oumou TOURÉ Mondeville 13-14, Hainaut 14-15
  Astou TRAORÉ Hainaut 13-15
  Mame-Marie SY DIOP Arras 01-06, Nantes Rezé 09-11, Lyon 11-14,
Lattes Montpellier 15-16
Serbie (4) Dajana BUTULIJA Lyon 15-16
  Milica DABOVIC Mondeville 2008, Lyon 14-16
  Danielle PAGE Challes 11-12, Lyon 12-13, Basket Landes 13-15,
Bourges 15-16
  Sonja PETROVIC Bourges 07-08
 
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Ligue Féminine - J0 2016
Auteur: 
Arnaud Dunikowski (LFB)
Date d’écriture: 
Mardi, 9. Août 2016
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Catégorie 2: 
Chapeau: 
Alors que le tournoi olympique féminin bat son plein dans la cité carioca, la LFB vous propose un tour d'horizon des joueuses passées par la France et qui brillent actuellement avec le maillot de leur sélection nationale.

Le calendrier est en ligne

Corps: 
Avec le passage à 12 équipes, la saison régulière comptera 22 journées (du 1er octobre au 28 mars). A l'issue de celles-ci, les 8 premières équipes disputeront les playoffs et les formations classées de 9 à 12 joueront les playdowns.
 
Playoffs
1/4 finales : 1er, 8 et 19 avril 2017
1/2 finales : 26, 29 avril et 2 mai 2017
Finale : 6, 8, 11, 13 et 16 mai 2017
 
Playdowns
6 journées les 1er, 8, 19, 26, 29 avril et 2 mai
 
Pour accéder au calendrier, cliquez ici.
 
La saison 2016-2017 débutera le samedi 1er octobre avec le traditionnel Open LFB à Paris-Carpentier. Toutes les infos sur le programme et la billetterie sont à retrouver ici.
Catégorie: 
Surtitre: 
Ligue Féminine - Saison 2016-2017
Date d’écriture: 
Lundi, 8. Août 2016
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Catégorie 2: 
Chapeau: 
La LFB vient de mettre en ligne sur son site internet le calendrier complet de la saison prochaine.

La surdouée

Corps: 

Céline Dumerc lui a sans doute laissé en héritage la recette des victoires olympiques au buzzer. Si elle n’a pas délivré elle-même le panier décisif, Olivia Epoupa est bien celle par qui le miracle est arrivé, jaillissant au rebond offensif pour délivrer à la dernière seconde une passe décisive à Endy Miyem. La Parisienne devait profiter de ces Jeux Olympiques pour parfaire sa "formation" au relais de la meilleure meneuse de l’histoire du basket français, avec Jacky Chazalon dans un style plus offensif. Elle se retrouve titulaire avec un temps de jeu en conséquence. "La blessure de Céline nous a toutes impactées", commente-t-elle sobrement. "Personnellement cela m’a permis d’avoir plus de responsabilités mais j’ai aussi des joueuses autour de moi qui sont dangereuses. Elles ont confiance en moi, j’ai confiance en elles et demain ça sera peut-être une autre qui se mettra en valeur."

Dimanche soir, on n’a vu qu’elle, ou presque (16 pts, 4 rbds, 5 pds, 3 ints). Donnant le tempo, appliquant un pressing défensif de tous les instants, rentrant des tirs extérieurs et confirmant son improbable statut de spécialiste du rebond (6,7 prises en LFB avec Toulouse) : "Je suis petite donc au milieu des Biélorusses je ne tente pas l’impossible. Je vois Endy bien positionnée et elle a ce réflexe de finir. C’est un match référence. On a réussi à rester concentrées après leur période d’euphorie. Même si elles mettaient tout, nous sommes restées sereines. On gagne avec le cœur et c’est ce qu’il faut retenir. J’avais l’intime conviction que le panier était bon. Ensuite j’ai vu la réaction des Biélorusses et notamment d’Harding qui a dit qu’il était valable. J’ai compris qu’on allait gagner."

Gagner, Epoupa ne fait que ça depuis sa tendre enfance. La future meneuse de Villeneuve d’Ascq a remporté sept médailles avec les Equipes de France de jeunes entre 2009 et 2014, réussissant l’exploit d’être désignée MVP d’un Euro dans trois catégories différentes (U16, U18, U20). Pour son deuxième été chez les A, elle affiche l’assurance d’un vétéran et bluffe jusqu’à son entraîneur : "Olivia faisait une très bonne campagne et désormais elle a les clés de la maison. Elle assume comme si elle avait toujours fait ça", sourit Valérie Garnier.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Lundi, 8. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
A 22 ans seulement, Olivia Epoupa (1,65 m) doit assumer des responsabilités inattendues avec le forfait de Céline Dumerc. Dimanche soir elle a livré une prestation monumentale et décisive face à la Biélorussie.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

La victoire au buzzer

Corps: 

 

Si le match d’ouverture avait ressemblé à une guerre de tranchées où chaque panier devait se gagner après une rude bataille, le jeu bien plus enlevé des Biélorusses, fait de courses et de prises de risque dans les tirs extérieurs, a donné un ton radicalement différent à la deuxième rencontre de poule des Bleues. Les demi-finalistes du dernier EuroBasket ont fait parler la poudre pendant le premier quart-temps : 8/11 aux tirs dont 4/5 derrière la ligne à trois-points avec une menace multiple et des inspirations aussi compliquées qu’efficaces.

En face l’Equipe de France a, comme la veille, pêché à la finition y compris sur des prises de position près du cercle. L’écart n’a cessé de croître pour atteindre les 12 unités (16-28) en milieu de deuxième quart-temps. Le moment choisi par Olivia Epoupa pour accélérer le tempo, provoquer des décalages et s’offrir quelques paniers faciles. Une embellie également servie par une agressivité retrouvée défensivement débouchant sur plusieurs ballons volés. Sur un double pas de Valériane Ayayi il semble que la force des rotations françaises va faire la différence (32-34). Mais la capacité des Bélarusses à frapper fort et vite de loin leur permet de conclure la mi-temps sur un 2-8 éclair. Leurs 14 balles perdues auraient dû leur être fatal mais une adresse exceptionnelle (66,7%) compense cette tendance au gâchis.

Elle va cependant leur jouer rapidement des tours et offrir à Sarah Michel et Epoupa l’occasion de lâcher les chevaux tandis qu’Endy Miyem impose sa technique dans la raquette. Les débats vont peu à peu s’équilibrer, Lindsey Harding parvenant à continuer à mettre sur orbite des coéquipières pas forcément capables de se créer leur propre tir mais redoutable une fois placées. L’Américaine, longtemps aux portes de l’équipe nationale, a obtenu sa naturalisation express il y a un an et immédiatement aidé son pays d’adoption à intégrer le dernier carré continental puis à passer l’écueil du TQO. Elle a livré un superbe duel à Olivia Epoupa pour entrer dans le money-time avec un court avantage (60-63, 35e). Cinq minutes marquées une nouvelle fois par l’opportunisme d’Epoupa et l’adresse de Tatsiana Likhtarovich. A 16 secondes de la fin, c’est la meneuse tricolore qui, pleine de sang-froid se stoppe pour un tir soyeux à cinq mètres qui donne l’avantage à son équipe (71-70). Harding ne tremble pas aux lancers-francs (71-72) mais sur l’ultime possession, après un contre sur Isabelle Yacoubou, Epoupa surgit au rebond offensif et sert Miyem qui marque sur le buzzer. Après deux journées, la France est en tête de sa poule avant d’affronter l’Australie, elle aussi invaincue.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Lundi, 8. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Après avoir été menée la majeure partie du match, l'Equipe de France s'impose finalement 73-72 face à la Biélorussie sur un tir au buzzer d'Endy Miyem. Sa deuxième victoire en deux matches aux Jeux Olympiques.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Parole à la défense

Corps: 

Si les féminines ont vécu un rêve éveillé lors de la cérémonie d’ouverture, leur entrée dans la compétition a, elle, viré au cauchemar. Il leur aura fallu attendre 5’45 interminables avant que Valériane Ayayi ne parvienne, enfin, à débloquer les compteurs. 1/8 aux tirs et 3 balles perdues, le tableau pouvait difficilement être plus sombre pour des Bleues crispées et qui ont longtemps buté sur la zone mise en place par Ekrem Memnun. Un entraîneur qui avait eu le temps de réviser ses classiques lors de la préparation, les deux équipes ayant disputé deux rencontres mi-juillet en Slovénie.

Son objectif ? Cadenasser la raquette et rayer de la carte le duo Gruda-Yacoubou. Un exercice parfaitement réussi et servi par l’absence totale de réussite dans les tirs extérieurs des Tricolores. Valérie Garnier va alors pianoter sur son banc pour tenter de trouver l’étincelle. Mais c’est finalement le retour aux affaires de deux titulaires qui va changer la donne. Olivia Epoupa entreprenante multiplie les pénétrations et parvient à desserrer l’étau. Endene Miyem en profite à la finition et patiemment, la France recolle au score, faisant subir à son adversaire un sort comparable à celui vécu en premier quart-temps. Les joueuses au croissant vont rester bloquées à trois unités pendant dix minutes, voyant disparaître l’écart précédemment creusé.

Une nouvelle fois la défense est l’assurance tous risques des Bleues avec leur profondeur de banc et leur impact physique. Sandrine Gruda et Isabelle Yacoubou longtemps en échec, c’est Sarah Michel qui fait office d’artificière en chef pour prendre le contrôle du match en fin de troisième quart-temps et prendre définitivement le contrôle du match. La puissance de Yacoubou près du cercle finit par peser et les coéquipières d’une Yilmaz trop esseulée ne parviennent plus à trouver de solutions.

Dans une poule équilibrée et après le choc du forfait de dernière minute de Céline Dumerc, l’Equipe de France a parfaitement rempli son objectif et se lance idéalement sur la route des quarts de finale.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Samedi, 6. Août 2016
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Catégorie 2: 
Chapeau: 
Dix minutes de flottement avant de renverser la tendance. L'Equipe de France féminine a dominé la Turquie 55-39 pour son entrée dans le tournoi olympique.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB
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"Les yeux écarquillés"

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Comment parvenez-vous à rester concentrée sur la compétition malgré l’excitation qui entoure votre arrivée à Rio et au Village Olympique ?

Les Jeux Olympiques sont un évènement rare et spectaculaire. Mais à l’intérieur de ces Jeux nous avons une compétition à faire. En dehors du terrain on pourra profiter de ce qu’il y a autour. Les anciennes nous donnent des conseils au quotidien mais elles veulent aussi nous laisser profiter. En nous voyant les yeux écarquillés devant Rafael Nadal ou Pau Gasol elles revivent ce qu’elles ont vécu à Londres en 2012 et ça leur fait du bien. Dans les têtes on se dit forcément : je suis là. Quand c’est ta première expérience olympique c’est évidemment quelque chose d’extraordinaire. Après, être présente sans performer, sans avoir un résultat ce n’est pas la même chose.

Tous les petits détails qui peuvent paraître anecdotiques semblent prendre des proportions différentes aux Jeux...

Bien évidemment. Quand on te donne ta dotation avec le coq ! Ah le coq ! Les anneaux ! On rêve des anneaux, on les voit partout et on prend des photos tous les jours.

Faut-il faire la queue pour prendre la photo au village olympique au milieu de ces anneaux ?

(elle rigole) Elle a beaucoup tourné cette photo ! Tous les athlètes la veulent. Nous sommes passées derrière des volleyeuses allemandes et on a attendu un peu. Mais on la voulait notre photo. Elle est sympa non ?

Comment s’est déroulée la présentation des deux équipes au Club France ?

Avec Sarah Michel on n’en revient pas. Nous sommes présentées devant une salle pleine. Les médias viennent nous parler. En playoffs ou à la Coupe de France il y a 5 ou 6 journalistes. Ici ça filme dans tous les sens. J’en prends plein les yeux et je prends tout ce qu’il y a à prendre.

Les conditions de vie au village olympique ont été beaucoup commentées. Quelles sont vos premières impressions ?

On savait que ce serait compliqué. Nous avions lu pas mal de choses sur des délégations qui avaient quitté les lieux avant de revenir. Les problèmes de vols, de tuyauterie. On a les nôtres. Le contexte olympique fait qu’on laisse un peu plus passer. Après je suis joueuse professionnelle mais je descends au Campanile avec mon club donc il ne faut pas exagérer.

 

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Vendredi, 5. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
A 22 ans, Valériane Ayayi découvre l’environnement des Jeux Olympiques avec l’enthousiasme de la jeunesse mais également la volonté de performer sur le terrain.
crédit: 
Julien Bacot/FFBB

"Je console les autres"

Corps: 

Pouvez-vous revenir sur les circonstances de votre blessure ?

Jeudi nous avons eu la chance d’avoir accès à notre gymnase de compétition pour l’entraînement. Les photos officielles ont eu lieu juste avant. Je me vois y rentrer en me disant : c’est là que l’on va jouer. J’ai associé ça à Londres, j’étais vraiment excitée à l’idée de débuter ces Jeux Olympiques à Rio. Sur une action anodine, je saute pour faire une passe et sur la réception mon pied s’est mal repositionné et ma cheville a tourné. J’ai eu très mal mais je suis assez sensible à la douleur et dans ces circonstances tes sentiments sont plus développés. J’étais frustrée et j’ai pété les plombs. Cela m’arrive souvent de me tordre les chevilles et si j’ai pensé que je ne serai pas prête dans trois jours, jamais je n’ai imaginé ne pas participer à la compétition.

A quel moment avez-vous compris que votre participation était compromise ?

Immédiatement le staff a prodigué les premiers soins : glacer, compresser, garder la cheville en hauteur pour limiter l’œdème. Je suis rentrée aux vestiaires puis au village. Le pied me lançait et je n’étais pas forcément très agréable, on ne pouvait pas m’approcher même si les filles voulaient m’aider à me porter. Je voulais marcher seule. Pour moi ce n’était pas grand-chose. J’ai rapidement fait une échographie dans notre bâtiment. Les informations se bousculaient et je n’ai pas tout retenu : degré 3-4, ligament superficiel… Les visages du staff médical ne se décomposaient pas. Ma question c’était : puis-je jouer, même blessée, sans mettre en danger mon intégrité physique ? Je croyais possible de revenir. Mais à l’IRM, le docteur me parle d’un ligament rompu. Un ligament profond et non superficiel comme évoqué à l’échographie. J’ai demandé le délai classique pour revenir. Six semaines. Et moi j’avais deux jours !

Y a-t-il une forme de déni dans ces moments-là ?

J’étais dans un état étrange. Ma première pensée a été : il faut que Valérie Garnier appelle quelqu’un. En me disant ça, je savais que je renonçais à mon accréditation. Quand tu viens aux Jeux, tu sais que ce petit bout de plastique est difficile à obtenir et que c’est ta vie ici. Pour qu’une autre la prenne, je devais rendre la mienne. J’avais seulement espoir de trouver un subterfuge pour pouvoir rester au village. En attendant qu’Amel arrive, que la cérémonie se passe, je plane un peu. Je suis sur mes béquilles, mon téléphone est prêt à exploser avec tous ces messages que j’ai du mal à ouvrir sans avoir un pincement au cœur. En plus je vois le groupe impacté par ce bazar et ce n’est pas l’idéal pour préparer la Turquie. J’ai envie de me faire toute petite. Ce n’est plus ma compétition mais comme l’a dit Valérie Garnier, les Jeux ne sont pas terminés ! Ils n’ont pas commencé ! Je ne veux pas parasiter les choses, mais j’ai un rôle à jouer, et si ce n'est pas du tout celui que j’avais prévu, à moi de l’accepter.

La proximité avec vos coéquipières est bien plus importante aux Jeux que dans des compétitions classiques. A quoi a ressemblé votre nuit ?

Quand je reviens au bâtiment, des athlètes français sont en bas. Je demande au kiné d’essayer de les éviter. Tu n’as pas forcément envie de parler, tu sais qu’ils sont tristes pour toi et que qu’ils n’ont pas les mots. Mais impossible de ne pas les croiser et j’ai passé la soirée à avoir des visites. Les garçons sont venus, j’ai passé du temps avec les handballeuses. Tout le monde se met à ma place. Cela m’a permis d’extérioriser et de mieux encaisser la nouvelle plutôt que de ruminer toute seule. Tu consoles les autres en fait, ils sont presque plus tristes que toi. Il y a pire dans la vie, il faut savoir relativiser. Et ici il y a une énergie… Si j’ai la chance de pouvoir rester, je vais devenir supportrice de mon équipe mais aussi des basketteurs. J’essaye de transformer cette expérience malheureuse en quelque chose de positif.

Il semble que ce matin vous avez eu à choisir entre rester à Rio ou rentrer en France en compagnie du Président de la République ?

(elle sourit) Effectivement. J’ai croisé le Président François Hollande jeudi matin au self. Il était au courant de ma situation et m’a proposé de rentrer aujourd'hui avec lui. Cela m’a fait sourire. Je lui ai dit que j’allais réfléchir mais que je préférerais rester au village. Soutenir mes copines reste ma priorité même si cela risque d’être un crève-cœur d’être impuissante. Je me suis demandée comment j’allais être capable de vivre cette situation.

A 34 ans la question de la fin de votre carrière internationale va se poser. Avez-vous eu l’occasion d’y réfléchir ?

Avant les Jeux je ne savais pas répondre à cette question. Je voulais me laisser le temps. Finir comme ça ne m’enchante pas. Il faut que je me rétablisse, que je sache exactement ce qu’il en est de cette blessure : opération ou pas. J’ai une saison avec mon nouveau club de Basket Landes qui va débuter. La réflexion sur l’Equipe de France viendra après. Si j’en ai la capacité et l’opportunité je me dis que je ne peux pas m’arrêter sur une blessure. Les mois à venir et mon corps détermineront si je peux poursuivre.

Il y a 4 ans vous aviez marché sur l’eau pour mener les Bleues en finale des Jeux. Pensez-vous qu’une autre joueuse pourra connaître ce même état de grâce ?

J’ai envie de dire que nous n’avons pas besoin de ça. L’Equipe de France féminine participe pour la troisième fois aux Jeux Olympiques. Nous ne sommes pas comme les Etats-Unis ou l’Australie qui participent et gagnent une médaille à chaque fois. Finir sur le podium serait une performance incroyable. En 2012, j’ai un peu tiré le groupe mais je me souviens du quart de finale où Endy Miyem nous sort de la panade. J’ai été plus constante donc on n’a parlé que de moi mais à chaque match une joueuse différente performait. Aujourd’hui, je ne suis pas là et peut-être certaines vont-elles se transcender alors qu’elles auraient trop attendu de moi dans d’autres circonstances. J’ai confiance.

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
par Julien Guérineau, à Rio
Date d’écriture: 
Vendredi, 5. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Céline Dumerc ne participera pas aux Jeux Olympiques de Rio. Touchée à la cheville mercredi soir à l’entraînement, la capitaine des Bleues sera remplacée par Amel Bouderra. Au village olympique, elle s’est exprimée, pour la FFBB, sur les circonstances de sa blessure, les sentiments qui l’assaillent depuis 24 heures et son avenir en Equipe de France.
crédit: 
Julien Bacot/FFBB

Dumerc forfait, Bouderra à Rio

Corps: 

Lors de l’entraînement, du mercredi 3 août à Rio, Céline Dumerc s’est blessée à la cheville gauche. La meneuse de jeu tricolore, qui a passé des examens complémentaires dans la soirée de mercredi, ne pourra pas participer à ses 2e J.O..

Les examens complémentaires réalisés sur place ont en effet révélé une lésion incompatible avec la poursuite de la compétition.

Le Directeur Technique National, Patrick Beesley et l’entraîneur de l’Equipe de France féminine, Valérie Garnier, ont décidé d’appeler Amel Bouderra (2 sélections - 27 ans), meneuse de jeu en Ligue Féminine à Charleville Mézières (Flammes Carolo Basket). Elle a été élue meilleure joueuse française cette saison, avec 12,7 points, 3,4 rebonds et 7,6 passes décisives de moyenne.

La meneuse originaire de Mulhouse, qui avait participé à la préparation au Tournoi Qualificatif Olympique, quittera la France dans la soirée et rejoindra l’Equipe de France à Rio dès le vendredi 5 août au matin.

L’Equipe de France féminine entamera son tournoi olympique samedi 6 août face à la Turquie. 

Surtitre: 
EQUIPE DE FRANCE A FEMININE
Auteur: 
Fabrice Canet
Date d’écriture: 
Jeudi, 4. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
La meneuse de jeu de l’Équipe de France féminine de basket, Céline Dumerc (34 ans - 250 sélections) victime d’une entorse à la cheville gauche, ne pourra pas participer aux Jeux Olympiques de Rio 2016.
crédit: 
Julien Bacot/FFBB

Les Bleuettes sont Championnes d'Europe !

Corps: 

Avec 6 victoires en autant de matches, les Françaises ne devaient pas craquer lors de ce match crucial pour la première place.

Tahane lance bien la France dans le match avec 4 points et 3 rebonds dans les 5 premières minutes de jeu et la France prend la première avance (7-2). Puis c'est Chartereau (19 points et 12 rebonds) qui s'illustre à son tour avec 6 points et 5 rebonds dans le premier quart-temps. Malgré l'interruption du match pendant plusieurs minutes à cause d'une fuite, les Bleues sont en tête après 10 minutes de jeu : 19-9.

L'Espagne tente de rattraper son retard dans le début de ce deuxième quart-temps, mais les joueuses d'Arnaud Guppillotte restent concentrées et gardent leur avance à 5 minutes de la mi-temps : 25-15. Elles profiteront même de ces 5 dernières minutes avant la mi-temps pour accroître un peu plus l'écart et retourner au vestiaire en menant de 13 points (32-19).

La France a du mal au retour de la mi-temps et encaisse un 5-0, qui redonne de l'espoir à l'Espagne : 37-31 après 5 minutes de jeu dans le troisième quart-temps. C'est Lenglet (7 points) puis Sissoko (11 points et 4 rebonds) qui viendront stopper cette série avec 4 points consécutifs et redonneront un peu d'air aux Bleues (41-31).

Tadic (10 points et 3 rebonds), dès le début du dernier quart-temps, redonne 13 points d'avance aux Françaises (47-34). Les Espagnoles commencent à fatiguer et les Bleues vont en profiter pour réaliser le plus gros écart du match à 8 minutes de la fin : +18 ! L'Espagne ne s'en remettre pas et les Bleues prendront leur envol dans cette finale.

La France qui restait sur trois finales perdues ces trois dernières années, remporte le Championnat d'Europe U18 féminin 2016.

Avec 13 points et 9 rebonds de moyenne sur le tournoi, Alexia Chartereau est élue dans le meilleur cinq et MVP de l'Euro.

France bat Espagne 74-44

Patrick Beesley, Directeur Technique National de la FFBB : "Après 5 finales consécutives dans la catégorie U18, l’Equipe de France vient enfin de décrocher le titre de Champion d’Europe. A la suite d’un parcours sans faute, qui se termine par la victoire contre l’Espagne, cette génération talentueuse obtient la récompense de ses nombreuses campagnes sous le maillot bleu.
L’histoire retiendra que bon nombre de joueuses déjà présentes dans cette sélection l’an passé s’inclinèrent en finale contre l’Espagne... C’est donc aujourd’hui une bien belle revanche. Ce titre européen est aussi la confirmation de la qualité de la formation française qui est enseignée dans les clubs de notre territoire ainsi qu’au Centre Fédéral. 
Enfin félicitation à Arnaud Guppillotte ainsi qu’à son staff pour l’ensemble du travail réalisé avec cette sélection."

Surtitre: 
Equipe de France féminine U18
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Dimanche, 31. Juillet 2016
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Catégorie 2: 
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Invaincues dans le tournoi, les Bleuettes s'imposent face à l'Espagne (74-44) et remportent le Championnat d'Europe U18 féminin
crédit: 
FIBA
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<blockquote class="twitter-tweet" data-partner="tweetdeck"><p lang="fr" dir="ltr">L&#39;équipe de France U18 féminine est championne d&#39;Europe <a href="https://t.co/O34voD7qCc">https://t.co/O34voD7qCc</a></p>&mdash; FFBB (@ffbasketball) <a href="https://twitter.com/ffbasketball/status/759844246526398466">July 31, 2016</a></blockquote>

Les Bleues terminent leur préparation par une défaite

Corps: 

Les deux dernières sorties n'étant pas convaincantes, le staff tricolore a remobilisé ses troupes. Et le message a été parfaitement entendu par les Bleues qui débutent à merveille cette partie contre le Canada dans le mythique Madison Square Garden. Sarah Michel dans le cinq de départ est intenable. Gruda et Yacoubou dominent la raquette et lancent les leurs dans le match (14-6, 6'). Les Canadiennes se ressaisissent et reviennent au score mais les Bleues terminent fort. Céline Dumerc intercepte et score au buzzer (22-18, 10').

Le 2e acte reprend mais l'intensité des deux côtés du terrain a quelque peu disparu. Le Canada a cassé le rythme que les Bleues s'étaient attachées à mettre dans le premier acte. Les Bleues peuvent toujours compter sur Sarah Michel qui ajoute un nouveau triple, mais en face, Thorburn et Raincock-Ekunwe font le travail et permettent au Canada de virer en tête à la pause (31-33, 20').

Le retour des vestiaires est compliqué pour les Françaises qui encaissent d'emblée un 8-0, obligeant Valérie Garnier à prendre un temps-mort pour stopper l'hémoragie. Langlois est inarrêtable à la mène canadienne, mais les Bleues réagissent grâce à Gruda et Yacoubou à l'intérieur. Les Bleues sont encore menées mais sont au contact à la fin du 3ème quart (47-52, 30').

Les Tricolores reprennent un éclat d'entrée de dernier quart. Les Bleues, en manque de réussite, ne parviennent pas à rattraper leur retard et à revenir sur les coéquipières de Lizanne Murphy. Langlois, totalement décomplexée (13 points, 4 passes), réussit sa prestation au Madison Square Garden. Mais Sarah Michel, irréprochable, vole deux ballons consécutivement et relance la France dans la rencontre. Olivia Epoupa d'un raid solitaire ramène même la France à -3 à 25 secondes du terme. Un réveil trop tardif pour les Bleues qui s'inclinent pour leur dernier match de préparation avant Rio. Un revers sans conséquence. Aux J.O., le 6 août contre la Turquie, il faudra gagner. #MissionRio

Canada bat France : 71-63

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
À New York (Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Dimanche, 31. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Pour leur dernier match de préparation aux Jeux, les Bleues se sont inclinées au Madison Square Garden face au Canada (71-63).
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)
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Une dernière danse au Madison

Corps: 

Ce sont des paillettes plein les yeux que sont entrées les joueuses et le staff tricolore à l'entraînement ce matin au Madison Square Garden. La mythique salle new yorkaise accueille en effet le dernier match de préparation des Tricolores, qui affronteront le Canada (13h30, 19h30 heure française). Cet après-midi face aux coéquipières de Lizanne Murphy (contre qui les Bleues avaient perdu à Mondeville en préparation début juin), les Françaises devront faire abstraction des étoiles dans leurs yeux pour réaliser une prestation convaincante et solide. La dernière répétition avant Rio.

Pour suivre le match :
-Live tweet sur @FRABasketball
 

Surtitre: 
Equipe de France féminine - JO
Auteur: 
À New York (Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Dimanche, 31. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Pour leur dernier match de préparation avant les Jeux de Rio, les Bleues affrontent le Canada au mythique Madison Square Garden à New York.
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)

"Le haut niveau me faisait peur"

Corps: 

Que représentent les Jeux Olympiques à vos yeux ?
J’ai vu les J.O. de Londres en 2012 à la télévision. Je m’étais dit qu’un jour j’y serai. Pendant quatre années, j’y ai pensé, j’ai travaillé. J’avais toujours dans un coin de ma tête cet objectif. C’est un rêve devenu réalité. Il y a les titres en club, les compétitions internationales, mais les J.O. c’est unique et exceptionnel. Pour en avoir parlé avec certaines, c’est un truc de fou. J’ai toujours eu envie un jour de vivre ça, je m’en suis donné les moyens et ça a été ma motivation première.

En 2012, ce rêve semblait loin de vous tout de même. Vous veniez de terminer une saison en LF2 avec Perpignan, et quatre ans plus tard vous voilà aux Jeux…
Je suis passée par plusieurs étapes. Arriver en Équipe de France, avoir un bagage en Ligue Féminine et en Euroligue. Pour y arriver, il fallait que je bosse à fond. J’ai travaillé avec mes entraîneurs, j’ai essayé de grappiller les échelons, et aujourd’hui me voilà aux Jeux. J’ai toujours été déterminée, j’ai eu des moments très difficiles où j’étais fatiguée mentalement, j’étais sous pression, j’ai eu des doutes parfois. Je me demandais si j’allais y arriver. Il y a des moments où j’ai craqué, où j’ai voulu tout arrêter, mais je ne me suis pas laissée abattre.

 Votre père est un ancien basketteur international en Équipe de Pologne (81 sélections). Vous saviez ce qu’était le haut-niveau, et vous avez refusé l’INSEP, les centres de formation, les Équipes de France jeunes. Qu’est-ce qui vous faisait peur ?
Mon père a connu beaucoup de déceptions par rapport à mon parcours. Ça a été des sujets de disputes d’ailleurs entre nous. Il ne comprenait pas. Je lui disais que si lui avait connu le haut-niveau, moi je n’avais pas envie de faire cela. À cette époque, je voulais rester dans mon cocon orléanais. Faire du basket tous les jours, manger et dormir basket, ça ne m’intéressait pas. Et puis je me suis lancée en 2010, au début ça a été très difficile. Il y avait un énorme écart de niveau, je ne m’attendais pas à ça. J’avais déjà dans un coin de la tête l’Équipe de France à court terme, et les Jeux à plus long terme.

Au-delà de votre progression depuis quatre ans, on peut même remonter en 2010 où vous évoluiez en NF3 avec Saran. C’est incroyable d’être aujourd’hui aux J.O. ?
C’est un truc de fou. Quand j’étais à Saran il y a six ans, jamais je n’aurais cru être là aujourd’hui. À un moment, j’ai eu un déclic. Je m’ennuyais, je ne prenais pas de plaisir à ce niveau. Le haut-niveau me faisait peur, j’avais mes copains et mes copines, ma famille. Je voulais plutôt devenir kinésithérapeute, j’aimerais toujours d’ailleurs. Je faisais mes deux entraînements par semaine, mon petit match le dimanche. Ça m’allait. Et puis j’ai sauté le pas. J’ai eu peur de regretter quelque chose. Il fallait que je me lance. L’histoire a commencé, il y a eu beaucoup de bas. Et puis les hauts sont arrivés.

2016 est une année particulière pour toi. Il y a évidemment les Jeux, mais aussi le choix de partir cet été à l’étranger pour jouer à Koursk en Russie.
Une carrière de basketteuse, ça ne dure pas toute la vie, je n’ai pu trop le temps. Petit à petit j’ai eu des objectifs. Et je voulais aller à l’étranger, tenter une expérience. Koursk s’est présenté, j’ai vraiment hâte. Ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir une opportunité comme cela. Il y aura sans doute des moments difficiles. Maintenant que je suis lancée, je n’ai plus peur de rien, j’ai envie de tout découvrir.

Avec quelle ambition se présente l’Équipe de France féminine à Rio ?
Clairement, la médaille. Pourquoi ne pas réitérer ce qui a été fait à Londres il y a quatre ans. Il faudra prendre les matches les uns après les autres, gagner la rencontre d’aujourd’hui puis celle de demain. On a une poule compliquée, il faudra être bien classé pour avoir un croisement favorable en quarts de finale. Et puis voir où cela nous mène. Réécrire une nouvelle histoire olympique, c’est faisable. On a une bonne équipe, un super groupe. On a fait une bonne préparation et un Tournoi de Qualification Olympique à Nantes intéressant. On a les armes, on peut faire quelque chose de bien.

 À titre personnel, quels sont vos objectifs au Brésil ?
Avant tout de prendre du plaisir, de profiter des instants. Après sur le terrain, je dois apporter ce que Valérie Garnier attend de moi : des rebonds, de la défense. Je prends les minutes qui me sont données et je me mets à 200%.

Il y a deux, dans l’émission « Dans Le Cercle » de la Ligue Féminine, vous déclariez vouloir « rattraper le temps perdu ». Y êtes-vous parvenue ?
Oui je pense que depuis mon départ de Saran il y a six ans, j’ai vécu pas mal de choses. Je fais mon chemin, chaque année j’ai de nouveaux challenges et c’est cela que j’apprécie. Les années passent, je ne fais la vieille à 26 ans mais je vois des jeunes pousses qui arrivent comme Marine Johannes et Olivia Epoupa, qui vont faire les Jeux à 21 et 22 ans. J’ai l’impression d’avoir rattrapé le temps perdu, je ne regrette absolument pas mes choix. Mais peut-être que j’aurais pu vivre tout cela plus tôt. Je suis tout de même contente de faire tout cela. Même si je m’y suis mise tard, j’ai réussi à aller où je voulais.

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
Propos recueillis par Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Mercredi, 10. Août 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Elle évoluait encore en NF3 en 2010. En 2016, Helena Ciak (26 ans, 1,97m) dispute les Jeux Olympiques de Rio avec les Bleues. Une ascension fulgurante pour celle qui avait jusqu’alors refusé le haut-niveau.
crédit: 
(Crédit : Julien Bacot/FFBB)

Les Bleuettes filent en finale !

Corps: 

Peu de points dans ce début match, mais la France prend l'avantage en premier : 6-2 après 6 minutes de jeu. Les Lettones ne trouvent pas la mire (1/17 dans le premier quart-temps) et ce sont les Bleues qui mènent 13-5 à la fin des 10 premières minutes.

L'adresse revient pour la Lettonie qui rentre bien mieux dans ce quart-temps et elle grapille petit à petit son retard. A 3 minutes de la mi-temps, les Lettones passent devant et mènent pour la première fois du match : 19-18. Cela ne durera pas longtemps puisque les Tricolores vont reprendre les commandes du match et mèneront d'un petit point à la mi-temps : 24-23.

Les joueuses d'Arnaud Guppillotte prendront de nouveau 6 points d'avance dans le troisième quart-temps avant de se faire rattraper. Les Lettones ne lachent rien et reviennent à un point dans la dernière minute, mais Pouye (9 points et 9 rebonds) à 3 points dans les dernières secondes redonnent du souffle à la France : 38-34. La France n'est plus qu'à 10 minutes de la finale.

Les Bleues continuent de pousser dès le début du dernier quart-temps et l'écart monte à 6 points : 45-39 alors qu'il ne reste que 7 minutes de jeu. Les Françaises continueront d'accroître leur avance et par un tir à 2 points de Chartrereau (11points et 14 rebonds) dans le coin mèneront 52-42 à 2 minutes du terme. Deux bonnes défenses de suite viendront sceller la victoire de la France qui s'impose 53-44.

Les Tricolores joueront la finale de l'Euro demain à 20h15 face à l'Espagne ou la Russie.

France bat Lettonie 53-44

Surtitre: 
Equipe de France féminine U18
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Samedi, 30. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
crédit: 
FIBA

Dominées par les Opals

Corps: 

Présentes toutes les deux sur le podium des Jeux il y a quatre ans, les deux équipes se retrouvent dans la banlieue new yorkaise à Bridgeport dans le Connecticut. D'une intensité incroyable, les deux équipes se rendent coup pour coup dès le début de match. Le duel Cambage-Yacoubou vaut le coup d'oeil. Côté français, le scoring vient d'ailleurs des intérieures tandis que les Opals marquent de loin avec une traction arrière menée par l'inusable Penny Taylor (12 points, 6 rebonds et 3 passes). L'Australie mène de deux longueurs après 10 minutes (17-19, 10').

Si Marine Johannes et Endy Miyem font repasser la France devant par deux primés, Cambage (19 points) profite des fautes et des absences sur le parquet de Yacoubou et Ciak pour effectuer un chantier dans la raquette. Les Bleues n'y arrivent pas, et ne parviennent pas à retrouver leur repères collectifs. Les Australiennes font le trou et forcent Valérie Garnier à prendre un temps mort pour trouver des solutions (36-25, 16'). Les Australiennes sont incroybles d'adresse (51,7% de réussite) et mènent logiquement à la pause (26-43, 20').

Les Bleues tentent de sonner la révolte mais l'Australie poursuit sur sa lancée et son adresse ne baisse. À 35 ans, Penny Taylor montre qu'elle est toujours aussi performante, Philipps (20 points) et Cambage continuent d'impressionner. Miyem (14 points), Ciak (9 points) et Dumerc (10 points) tentent de ramener les Françaises. Les Tricolores reviennent un peu en fin de 3ème acte au prix d'efforts défensifs collectifs et recollent à 14 unités (49-63, 30'). Sous l'impulsion de Dumerc, la France essaie tant bien que mal de revenir. Mais les erreurs et les approximations sont trop nombreuses. Les Tricolores s'inclinent face aux Australiennes (67-76). Elles affronteront le Canada dimanche pour leur tout dernier match de préparation avant les Jeux. Au Madison Square Garden à New York.

Australie bat France : (67-76)

 

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
À Bridgeport (Connecticut, Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Vendredi, 29. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Jamais dans la partie, les Bleues ont laissé l'Australie dérouler leur jeu et se sont inclinées dans leur deuxième match dans cette tournée américaine (67-76).
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)
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<blockquote class="twitter-tweet" data-partner="tweetdeck"><p lang="fr" dir="ltr"><a href="https://twitter.com/hashtag/AUSFRA?src=hash">#AUSFRA</a> Défaite des Bleues à Bridgeport contre l&#39;Australie <a href="https://twitter.com/hashtag/MissionRio?src=hash">#MissionRio</a> <a href="https://t.co/JLoZzXVRQD">pic.twitter.com/JLoZzXVRQD</a></p>&mdash; Equipe France Basket (@FRABasketball) <a href="https://twitter.com/FRABasketball/status/759148533089984512">July 29, 2016</a></blockquote> <script async src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script> <iframe src="https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2FEquipeDeFranceFeminineDeBasketBall%2Fvideos%2F895309107269097%2F&show_text=0&width=560" width="560" height="315" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" allowFullScreen="true"></iframe> <iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fmedia%2Fset%2F%3Fset%3Da.895709443895730.1073741857.213562032110478%26type%3D3&width=500" width="500" height="685" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true"></iframe>

Les Bleuettes sont en demi-finale !

Corps: 

Après s'être fait peur en huitième de finale face à la Slovaquie, la France devait se reconcentrer et remporter ce match pour espérer jouer les demi-finales.

Les deux équipes commencent timidement le match avec uniquement 8 points marqués après 5 minutes de jeu (4-4). L'adresse se fait rare et les deux sélections cumulent un 6/24 (25%) à 2 minutes de la fin du premier quart-temps, mais c'est finalement l'Italie qui prend les devants du match (14-11,10').

Les Italiennes continuent leur break et prennent 5 points d'avance à l'entrée du deuxième quart-temps. Les Françaises n'abdiquent pas et reprennent les devants (20-16) grâce à un magnifique tir de Sissoko (8 points) à 5 minutes de la mi-temps. Les Bleues ratent trois tirs malgré deux rebonds offensifs dans la dernière minute et les deux équipes rejoignent le vestiaire sur le score de 29-25 pour la France.

L'adresse revient peu à peu mais les Tricolores n'arrivent pas à faire le break. L'Italie revient à un petit point après 6 minutes de jeu dans le troisième quart-temps. Les joueuses d'Arnaud Guppillotte résistent et sont à 10 minutes de la demi-finale (44-40).

L'Italie ne lache rien et à 2 minutes du terme, revient à 2 points (54-52). Sur deux lancers-francs, Pouye remet la France à +6 (58-52) alors qu'il ne reste qu'une minute à jouer. Finalement la France s'impose 60-52 et accède à la demi-finale. Les Bleues affronteront la Lettonie demain à 18h pour tenter de décrocher une place pour la finale.

France bat Italie 60-52

Surtitre: 
Equipe de France féminine U18
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Vendredi, 29. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
L'Équipe de France féminine U18 s'impose 60-52 contre l'Italie et file en demi-finale du Championnat d'Europe
crédit: 
FIBA

Un nouveau défi

Corps: 

Dans leur préparation au TQO début juin, les Françaises l'avaient emporté contre les Opals à Mondeville (58-50). À une semaine des Jeux, les coéquipières de Sandrine Gruda voudront livrer la même prestation à la Webster Bank Arena, pour poursuivre leur travail à moins d'une semaine des Jeux de Rio 2016.

Pour suivre la rencontre : 
-Livetweet sur @FRABasketball
-Livestats : cliquer ici

 

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
À Bridgeport (Connecticut, Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Vendredi, 29. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Après les Etats-Unis il y a deux jours, les Tricolores enchaînent un nouveau match de prestige ce dimanche dans le Connecticut. Les Bleues affrontent l'Australie, 3ème il y a quatre ans aux Jeux de Londres et médaillée de bronze au Mondial en Turquie en 2014.
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Les Bleues dans le Connecticut à Bridgeport

Corps: 

Surtitre: 
La Minute Inside - 29/07/2016
Auteur: 
À Bridgeport (Connecticut, Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Vendredi, 29. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Après 4 heures de bus depuis le Delaware, les Tricolores ont pris leur marques à Bridgeport dans le Connecticut. Elles y affrontent l'Australie à la Webster Bank Arena ce vendredi à 16h30 (22h30, heure française).
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)
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Le deuxième Championnat du Monde militaire féminin aux USA

Corps: 

La France avait organisée la première édition à Anger l'année dernière et avait vu s'imposer le Brésil face à la Chine.

A l'occasion de cette deuxième édition organisée aux États-Unis, 7 pays s'affrontent du 25 au 31 juillet dans le Paige Field House (San Diego, Californie).

Les Françaises ont d'ailleurs débuté ce Mondial le 25 juillet par une confrontation face à la Chine, finaliste défait de la première édition, qu'elles ont malheureusement perdu (68-49). Lors du deuxième match les Bleues ont affronté les États-Unis, à domicile, et se sont inclinées 85-53. Mais à l'occasion du troisième match de poule, la France s'est imposée de 42 points (82-40) face à l'Allemagne. 

L'Équipe de France militaire féminine rencontrera le Brésil, Champion du Monde en titre, ce jour pui terminera les phases de poule face au Canada vendredi 29 juillet.

Ci-dessous l'effectif complet de l'équipe :

POSTE 1
GND Stiegler Stéphanie 1,57 1 D1 Firminy chazeau 26/08/1989
RES Favre Aurélie 1,75 1-2 LF2 Dunkerque MBC 29/10/1991
GND Carcuac Lise 1,6 1 R1 Novalaise 31/05/1988
GND Bringard Justine 1,7 1-2 R1 Guipavas 08/08/1987
POSTE 2
RES Decker Elodie 1,65 2-1 LF2 Monaco Basket Association 23/10/1985
GND Fristchmann Charlène 1,68 2 R1 Stade Rodez Aveyron Basket 03/04/1990
SGT Vanhoutreve Sarah 1,68 1-2 PNF Cercle jean mace Bourges B 14/06/1989
POSTE 3
RES Belleville Laure 1,75 3-4 LF2 Charnay Basket Bourgogne Sud 08/02/1987
POSTE 4
GND Lanher Marine 1,74 3-4 R1 Domremy Basket 13 05/09/1989
1 CL Renaud Stéphanie 1,83 3-4 N3 Geispolsheim 01/07/1987
GND Mori Meghanne 1,81 3 N3 Franconville 15/03/1986
POSTE 5
RES Cortinovis Johanna 1,9 4-5 LF2 Charnay Basket Bourgogne Sud 04/11/1986
STAFF
GRADE NOMS  PRENOMS  TAILLE Poste Niveau actuel Club Actuel DATE DE NAISSANCE
ADC Demaret Christophe 1,7 Adjoint DE SAPELA Basket 13 04/05/1964
ADJ Fourrier Fabien 1,78 Coach CQP ALM Evreux 05/08/1975
ADJ Martz Gabriel 1,68 Adjoint EJ Rochefort BC  08/05/1976
ADC PODER Philippe 1,87 CTM DE Sénart Basket Ball 01/11/1973
ADC  GOMEZ Christophe 1,88 Arbitre   Ecole Polytechnique 24/03/1972

 

Pous plus d'informations et suivre les matches en direct : http://www.mccscp.com/CISM/

Surtitre: 
Équipe de France féminine militaire
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Jeudi, 28. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Aux États-Unis se déroule, du 25 au 29 juillet, le deuxième Championnat du Monde militaire féminin regroupant 6 pays : la Chine, le Brésil, l'Allemagne, les États-Unis, le Canada et la France
crédit: 
L'Équipe de France féminine militaire qui participera au Mondial
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Team USA trop forte pour les Bleues

Corps: 

C'est dans un Bob Carpenter plein à craquer les Bleues affrontent les quintuples championnes olympiques en titre, les Etats-Unis. Un premier match de très haut-niveau dans cette tournée américaine, qui verra les Tricolores affronter l'Australie (vendredi 29/07) et le Canada (dimanche 31/07). Le début de match est équilibré, Skrela ouvre les hostilités, Dumerc et Gruda scorent pour les Bleues, mais en face les Américaines performent dans leur jeu de transition et font parler leur adresse. Une répartition du scoring quasi parfaite pour Team USA, mais les entrées en jeu d'Epoupa, Johannes et Michel permettent aux Françaises de rester au contact après dix minutes (17-20, 10').

Les Bleues ne lâchent pas l'affaire dans ce deuxième quart-temps. Si les Américaines déploient un physique impressionnant, les Tricolores répondent à ce défi à merveille. Le collectif français (7 joueuses ayant scoré à la pause) montre de belles choses face aux coéquipières de Tina Charles (9 points à la mi-temps) qui montrent quelques signes d'agacements. Et pour cause, à la surprise des supporters du Delaware, la France n'est menée que d'un petit point à la pause (31-32, 20').

Bousculées, les Américaines reviennent sur le parquet avec d'autres intentions. Les Bleues ne parviennent plus à répondre à l'intensité proposée et à l'adresse retrouvée de Team USA. Les coéquipières de Taurasi ont passé la vitesse supérieure dans ce 3ème acte remporté 31-15 dans le sillage du duo Moore-Charles. Les Etats-Unis sont en tête à dix minutes de la fin (46-63, 30').

Les Américaines sont rayonnantes de réussite également dans ce 4ème quart, et l'écart grandit pour les Françaises qui ne parviennt plus à répondre au défi physique des filles de Geno Auriemma. Les Tricolores s'inclinent malgré une première mi-temps très convaincante. Dans deux jours à Bridge Port, les Bleues affronteront un nouveau cador du basket mondial : l'Australie.

Etats-Unis bat France : 64-82 

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
À Newark (Delaware, Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Jeudi, 28. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Si la première mi-temps des Tricolores a été de très belle facture (31-32), les Bleues ont craqué dans la 2e mi-temps face au rouleau compresseur américain (62-84).
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)
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<blockquote class="twitter-tweet" data-partner="tweetdeck"><p lang="fr" dir="ltr">Les Bleues ont tenu une mi-temps mais ont craqué au final face à <a href="https://twitter.com/usabasketball">@usabasketball</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/USAFRA?src=hash">#USAFRA</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/MissionRio?src=hash">#MissionRio</a> <a href="https://t.co/KzWcopaA52">pic.twitter.com/KzWcopaA52</a></p>&mdash; Equipe France Basket (@FRABasketball) <a href="https://twitter.com/FRABasketball/status/758470197149835264">July 28, 2016</a></blockquote> <script async src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script> <blockquote class="twitter-tweet" data-partner="tweetdeck"><p lang="fr" dir="ltr">Retour en images sur <a href="https://twitter.com/hashtag/USAFRA?src=hash">#USAFRA</a> : <a href="https://t.co/qfO0xxfOkm">https://t.co/qfO0xxfOkm</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/MissionRio?src=hash">#MissionRio</a> <a href="https://t.co/AvtauE3Des">pic.twitter.com/AvtauE3Des</a></p>&mdash; Equipe France Basket (@FRABasketball) <a href="https://twitter.com/FRABasketball/status/758517195525742592">July 28, 2016</a></blockquote> <script async src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>

Les Bleuettes dans les dernières secondes !

Corps: 

Les Françaises rentrent bien dans leur match et infligent un 4-0 d'entrée à une Lituanie timide. Les défenses sont en places, les deux équipes ont bien compris qu'on entrait dans les phases à élimination directe. Les Lituanniennes reprennent les devants à la toute fin du quart-temps : 12-11.

Les Bleues ont du mal en ce début de quart-temps, mais grâce à un jeu rapide et plusieurs contre-attaques égalisent à 19 partout à 6 minutes de la mi-temps. Bien lancées, elles passent même un 9-0 à la Lituanie ce qui leur permet de mener 26-19. Les deux équipes rentrent au vestiaire sur le score de 30-22 pour les Tricolores.

Les Françaises gèrent bien leur avance, mais manquent d'adresse à trois points pour pouvoir vraiment être tranquilles (40-29) après 7 minutes de jeu dans le troisième quart-temps. Les Lituaniennes restent agressives et reviennent à 6 points dans les dernières minutes : 44-38 pour la France.

La Lituanie continue sa remontée et passe devant à 5 minutes de la fin du match grâce à un 5-0 (49-47).  Les deux équipes restent au coude à coude dans la dernière minute mais Chartrereau (16 points et 10 rebonds) rentre un tir compliqué dans les dix dernières secondes et envoie l'Équipe de France en quart de finale !

Les Bleues affronteront l'Italie ce vendredi à 18h00 en quart de finale.

France bat Lituanie 53-51

Surtitre: 
Equipe de France féminine U18
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Mercredi, 27. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Après avoir terminé premières de leur groupe, les joueuses d'Arnaud Guppillotte remportent leur huitième de finale contre la Lituanie (53-51) et se qualifient pour les quarts
crédit: 
FIBA

L'ogre Team USA au menu

Corps: 

Le challenge est immense, la montagne quasi-insurmontable. Battre les Etats-Unis, les Bleues l'ont déjà fait en 2014 en match de préparation au Mondial à Paris Coubertin. Mais réitérer cet exploit, à une dizaine de jours des Jeux, sur le sol américain, les chances sont faibles... Le Bob Carpenter Center de l'Université du Delaware à Newark va voir s'affronter ce soir (19h30, 1h30 heure française) le remake de la finale des J.O. de Londres 2012, remportée par les USA. Dans une université où 21 sports se cotoient, la ferveur des supporters états-uniens sera sans doute incroyable dans les travées de la salle. Mais les Tricolores, invaincues depuis huit rencontres, n'auront rien à perdre.

Où suivre le match ?
-En direct vidéo sur la page Facebook de Team USA
-En live tweet sur @FRABasketball

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
À Newark (Delaware, Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Mercredi, 27. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Pour leur premier match de leur histoire en terre américaine, les Bleues rencontrent les Etats-Unis. Un test grandeur nature à moins de dix jours des Jeux, face à une équipe championne olympique sans discontinuer depuis Atlanta en 1996.

Les Bleues finissent premières de leur poule

Corps: 

Après s'être imposées face à la Croatie et la Hongrie, les Bleues devaient battre la Slovénie ce soir pour terminer premières de leur Groupe.

Les Tricolores peinent à entrer dans leur match et les Slovènes en profitent pour prendre les devants, mais la France retrouve un semblant d'adresse et passe devant après 5 minutes de jeu dans ce premier quart-temps (8-6). Les Bleues continuent de défendre agressivement et mènent alors de 11 points alors que le quart-temps se termine (20-9).

Les joueuses d'Arnaud Guppillotte ont bien compris comment paralyser les Slovènes et les filles en profitent pour perpétuer cette intensité défensive. Sur un tir à 2 points de Tahane (6 pts), elles prennent 19 points d'avance à 5 minutes de la mi-temps : 31-12. Les défenses se resserrent et les deux équipes ont du mal à trouver la mire : 36-18 à la mi-temps.

L'Équipe de France féminine met le verrou défensif et la Slovénie ne marque que 7 points dans ce quart-temps alors qu'elles en encaissent 25. Les Bleues s'envolent grâce à un collectif toujours très soudé : 61-25 à la fin du troisième quart-temps.

Le quatrième quart-temps est une simple formalité pour les Françaises qui s'imposent largement 84-42 et termient à la première place du groupe D. Elles affronteront la Lituanie ce mercredi à 19h45 pour une place en quart.

France bat Slovénie 84-42

Surtitre: 
Equipe de France féminine U18
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Mardi, 26. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Les Bleuettes infligent une lourde défaite (84-42) à la Slovénie et terminent premières de leur groupe
crédit: 
FIBA

Amazing Delaware !

Corps: 

Surtitre: 
La minute inside - 26/07/2016
Auteur: 
À Newark (Delaware, Etats-Unis), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Mardi, 26. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Arrivées hier aux Etats-Unis, les Françaises ont filé pour Newark, où elles ont découvert le Bob Carpenter Center à l'Université du Delaware ce matin. Et un seul mot à la bouche des Bleues : "Amazing !"
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)

Les Etats-Unis, dernière #MissionRio

Corps: 

Le voyage fut long, l'orage tombé sur l'aéroport international de New York aura retardé l'arrivée dans le Delaware des Tricolores, mais les Françaises ont bien possession de leur hôtel. Ce mardi matin, les joueuses de Valérie Garnier ont également pris possession du Bob Carpenter Center, la salle de l'Université du Delaware où elles joueront les Etats-Unis demain mercredi. Le premier match d'un tournoi de très haut-niveau au cours duquel les Bleues affronteront aussi l'Australie et le Canada.

Tournoi de préparation aux JO aux Etats-Unis : 27 au 31 juillet 2016
Mercredi 27 juillet à Newark (Delaware) : Etats-Unis / France
Vendredi 29 juillet à Bridgeport (Connecticut) : France / Australie
Dimanche 31 juillet au Madison Square Garden de New York : France / Canada

Surtitre: 
Equipe de France féminine - Préparation JO
Auteur: 
À Newark (Delaware), Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Mardi, 26. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
À dix jours du début des J.O. de Rio, les Françaises sont arrivées aux Etats-Unis pour disputer un ultime tournoi de préparation.
crédit: 
(Crédit : Bosi/FFBB)
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Et de deux pour les Bleuettes

Corps: 

Ce sont les Hongroises qui débutent le mieux ce match. Lelik mène bien son équipe du côté de la Hongrie avec 8 points (2/2 à 3 pts) dans les premières minutes de ce match, mais les Bleues restent au contact : 15-12 après 5 minutes de jeu. Augmentant l'intensité défensive dans les dernières minutes de ce premier quart-temps, les Tricolores n'encaissent pas de panier pendant 2 minutes et passent devant (24-23, 10').

Grâce à leur réussite à 3 points et sur un nouveau tir de Lelik, les Hongroises repassent devant après 4 minutes de jeu dans le deuxième quart-temps (31-28). Poussées par son public, la Hongrie décide de reserrer sa défense et les Françaises ont du mal à marquer (pas un panier en 5 minutes). Lelik est sur un nuage (18 pts à 7/9, 4 rbds, 3 pds en première mi-temps) et la France rentre au vestiaire menée de deux points : 37-35.

Les Hongroises débutent cette seconde période avec la même agressivité qu'en début de match. A 50% de réussite dont 41% à trois points, le pays hôte réalise le premier break de ce match en prenant 8 points d'avance (44-36) après 3 minutes de jeu dans le troisième quart-temps. Les Bleues vont réagir et Foppossi ramène la France à deux points à la toute fin du troisième quart-temps : 51-53.

Alors qu'il ne reste que 7 minutes à jouer dans ce match, les joueuses d'Arnaud Guppillotte vont reprendre la tête de ce match (57-53) après deux paniers coup sur coup de Tahane (9 pts). Kerboeuf (12 pts et 4 rbds) et Chartrereau (19 pts, 6 rbds et 2 pds) rajoutent 8 points et les Françaises réalisent un 14-3 au meilleur moment : 67-56, 35'. Chartrereau marquera 10 points dans l'unique dernier quart-temps et la France s'impose au terme d'un match disputé.

France bat Hongrie 76-65

Surtitre: 
Equipe de France féminine U18
Auteur: 
Ulysse Chedhomme (FFBB)
Date d’écriture: 
Dimanche, 24. Juillet 2016
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Pour ce deuxième match de phase de poule dans le Championnat d'Europe U18, l'Equipe de France féminine a connu plus de difficultés mais s'impose 76-65 face à la Hongrie
crédit: 
FIBA

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