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S’il est des terres où le basket est devenu un sport incontournable, le Maine-et-Loire en fait partie. L’histoire de la balle orange débute en 1912 sur notre territoire et qui aurait imaginé à l’époque une telle histoire.
Du Président, Louis Lebeau, à Philippe Nicolas, des vieux murs de la rue Plantagenet aux bureaux modernes de la rue Pierre de Coubertin, de la première équipe du Cercle Sportif Jean Bouin de Julien Bessonneau, aux stars NBA biberonnées sous le bardage de la Meilleraie, des pionnières du basket féminin, à la médaille olympique glanée par Valérie Garnier, des Mauges au Saumurois, en passant par les Coupes et Challenges de l’Anjou, ce livre vous fera revivre près d’un siècle de basket en Maine-et-Loire. Entre petites histoires qui deviendront grandes, entre découvertes et émotions, redécouvrez le basket en Maine-et-Loire comme vous ne l’avez jamais vu.
A l’occasion de son 90ème anniversaire, le Comité de BasketBall du Maine-et-Loire sort un livre sur l’histoire du basketball dans le département. « Anjou Terre de Basket » retrace l’histoire de ces hommes, de ces femmes, de ces clubs, de ces équipes, de ces évènements, et de ces lieux qui ont façonné notre sport favori en Maine-et-Loire.
Le Paris Université Club Basket célèbre ses 100 ans d’existence à travers divers événements en cette fin de saison. Des colloques, un tournoi de 3x3, du basket ou encore un Rallye Culturel pour marquer le centenaire de ce club rebelle et important dans l’histoire du basketball français.
Absente au Puy du Fou en raison de ses obligations sportives, la joueuse emblématique du Tango Bourges Basket et de l’Équipe de France féminine, Sarah MICHEL-BOURY, a été très longuement applaudie par les congressistes présents au dîner de gala, au moment de recevoir le Trophée Robert Busnel-Yvan Mainini, la plus haute distinction fédérale.
Au préalable, la FFBB avait remis des Coqs à différents dirigeants investis dans le basket français depuis de nombreuses années. L’unique Coq d’Or cette année a été remis à un grand serviteur du basket fédéral, le Secrétaire Général de la fédération : Thierry BALESTRIERE.
Les Coqs 2023 de la FFBB
Coq d’Or : Thierry Balestriere (Secrétaire Général FFBB)
Coqs d’Argent : Nicole De Colo (entraîneur bénévole) et Alain Weisz (entraîneur de l’Équipe de France masculine de 2000 à 2003)
Coqs de Bronze : Bernard Hellier (vice-président du CD de Savoie), Huguette Chappat (secrétaire générale de la ligue d’Occitanie), Jean Claude De Brito (membre du comité directeur du Lot et Garonne), André Henry (entraîneur bénévole et ancien joueur de l’ASVEL), Magali Ferrier (présidente du CD de l’Hérault), Mickaël Lebreton (président de la ligue de Bretagne), Corinne Chassac (vice-présidente du CD de l’Orne), Pierre Dufau (président de la ligue Nouvelle Aquitaine), Valérie Allio (vice-présidente de la ligue de Bretagne), Frantz Dambo (président de la ligue de Martinique) et Jacky Rousselot (président du CD de Vendée)
A l’occasion du dîner de Gala de l’Assemblée Générale de la FFBB qui s’est déroulé au Puy du Fou (85), samedi 14 octobre 2023, le président fédéral, Jean-Pierre Siutat, a remis de nombreuses et prestigieuses récompenses à des personnalités du basket français. La capitaine de l’Équipe de France féminine, Sarah Michel-Boury a été décorée de la plus haute distinction de la FFBB, le Trophée Robert Busnel-Yvan Mainini.
A travers ses 344 pages regroupant plus de 20 témoignages exclusifs de personnalité du basket international, illustrées par plus de 200 photos, L'Histoire du BasketBall aux JO nous fait revivre toutes les éditions olympiques de 1904 à 2020.
Ce livre, édité par ID Editions et préfacé par Boris Diaw, sera en vente au prix de 35 € et est actuellement disponible en pré-commande à tarif préférentiel 32 €. Offre valable jusqu'au 30 septembre 2023.
L'histoire du basketball aux Jeux Olympiques, une histoire qui n'a jamais été racontée. C'est donc le défi que s'est lancé le site basket retro en réalisant un ouvrage exceptionnel sur le sujet. Ce livre est d'ores-et-déjà disponible en pré-commande.
Retenus par différentes obligations Valérie Garnier (ex-entraîneur de l’Équipe de France féminine) et Vincent Collet (entraîneur de l’Équipe de France masculine) ne pouvaient pas être présents à Pau lors de cette soirée de Gala. Ils ont néanmoins été très longuement salués et applaudis par l’assistance au moment de recevoir le Trophée Robert Busnel-Yvan Mainini, la plus haute distinction fédérale.
Quelques instants auparavant, à l’occasion de la remise des Coqs de la FFBB, Dominique Juillot, ancien président de l’Elan Chalon, Nando De Colo et Diandra Tchatchouang, tous les deux médaillés aux Jeux de Tokyo et ayant un dévouement sans faille au maillot bleu, ont été décorés du Coq d’Or de la FFBB. Si le joueur du Fenerbahçe ne pouvait être présent à Pau, l’internationale aux 107 sélections, était, elle, bien présente pour recevoir cette distinction, tout comme l’ancien Président du club Champion de France en 2012 et 2017, devant les représentants des clubs français.
Les Coqs 2021 de la FFBB
Coqs d’Or : Dominique JUILLOT (ancien président Elan Chalon), Nando DE COLO (joueur international), Diandra TCHATCHOUANG (joueuse internationale)
Coqs d’Argent : Jacques COMMERES (Directeur du Pôle Haut Niveau), Daniel HERBLINE (Président LR Normandie)
Coqs de Bronze : Jean BAFFERT (Secrétaire Général CD 73), Anne LUCIANI (Présidente LR Corse), Robert JAUNIER (ancien Président du CD 64), Rolande DARNAL (Présidente LR Guyane), Bernard DANNEL (Membre du Comité Directeur Fédéral, Vice-Président du CD 62).
Historique du Trophée Robert Busnel – Yvan Mainini et ex médaille Robert Busnel
Cette année, à l’occasion du dîner de Gala de l’Assemblée Générale de la Fédération Française de BasketBall, qui s’est déroulée à Pau (64), samedi 16 octobre 2021, le président de la FFBB, Monsieur Jean-Pierre SIUTAT, a remis de nombreuses et prestigieuses récompenses à des personnalités du basket français. Valérie Garnier et Vincent Collet ont tous les deux été décorés de la plus haute distinction de la FFBB, le Trophée Robert Busnel-Yvan Mainini.
L’ailier des L.A. Clippers, médaillé d’argent aux Jeux Olympiques de Tokyo avec l’Équipe de France a été élu par un jury de 17 membres, invité à présenter son tiercé de tête afin de distribuer les 10 points (1ère place), 7 points (2e place) et 5 points (3e place). Les performances des joueurs et des joueuses lors de la saison de club 2021/22 et lors des compétitions internationales 2021 ont été prises en compte pour déterminer l’identité du lauréat. Le public a également fait part de ses choix par internet, Nicolas Batum, terminant en tête des votes.
Deuxième rebondeur, troisième passeur et meilleur contreur des Bleus aux Jeux Olympiques, Nicolas Batum était le joueur le plus utilisé par Vincent Collet à Tokyo. Son impact déterminant en quart de finale face à l’Italie (15 pts, 14 rbds) puis son contre décisif sur Klemen Prepelic en demi-finale contre la Slovénie ont marqué les esprits des votants, tout comme sa renaissance en NBA. Sorti de la rotation des Hornets, le transfert du capitaine de l’Équipe de France vers les Clippers a changé la donne. Elément déterminant de la franchise californienne, il a largement contribué à la première qualification en finale de Conférence NBA de l’histoire des Clippers.
Nicolas Batum devance Rudy Gobert dans le classement, au terme d’une élection particulièrement serrée. Meilleur défenseur NBA pour la troisième année consécutive, élu dans le meilleur cinq des Jeux Olympiques, le pivot du Jazz, vainqueur en 2019 est passé très près d’un deuxième sacre.
Les résultats
Joueur
Points
Première place
Nicolas Batum
126
10
Rudy Gobert
99
8
Sandrine Gruda
45
-
Evan Fournier
32
-
Migna Touré
27
-
Gabby Williams
22
-
Nando De Colo
19
-
Alexia Chartereau
14
-
Valériane Vukosavljevic
12
-
Marie-Eve Paget
5
-
Le jury 2021 Jean-Pierre Siutat (représentant FFBB), Jacques Commères (DTN), Alain Béral (LNB), Carole Force (LFB), Isabelle Fijalkowski (Club des Internationaux), Brisco (personnalité), Yann Ohnona (L’Equipe), Thomas Bach (AFP), Barbara Youinou (Est Républicain), Yann Casseville (Basket), George Eddy (Canal +), Pascal Legendre (www.basketeurope.com), Gabriel Pantel Jouve (www.bebasket.com), Christophe Remise (Le Figaro), Julien Lesage (Le Parisien), Thomas Berjoan (FIBA), Julien Guérineau (Basketball Magazine), le public.
Le nom du vainqueur du Trophée Alain Gilles, récompensant le meilleur basketteur français de l’année, a été dévoilé ce jour lors de l’Assemblée Générale de la FFBB à Pau. Nicolas Batum (2,03 m, 32 ans) succède à Rudy Gobert.
Vous attendiez-vous à remporter le trophée Alain Gilles cette année ?
Pas forcément (il sourit)… quand on voit la saison de Rudy Gobert, d’Evan Fournier, d’Alexia Chartereau, de Sandrine Gruda. Pourquoi moi ? Surtout quand on regarde où j’étais il y a 10 mois. C’est d’ailleurs sans doute ça qui a fait pencher la balance.
Est-ce la force du story telling ?
Sûrement ! Je pars d’une équipe qui n’était pas très forte et où je ne jouais plus du tout pour derrière avoir le troisième temps de jeu d’une équipe candidate au titre. En plus on élimine Rudy Gobert en playoffs et j’ai un grand rôle dans cette série. Mon quart de finale contre l’Italie aux Jeux Olympiques et le contre sur Klemen Prepelic en demi-finale, toutes ces petites choses additionnées ont sans doute poussé les gens à voter pour moi. Je n’ai pas gagné beaucoup de prix individuels et celui-là est particulier justement par rapport à ma situation il y a un an. Cela fait vraiment plaisir d’avoir la reconnaissance de mes pairs.
Lorsque le jury a été réuni à Paris, un des votants a, comme beaucoup, eu du mal à choisir un vainqueur, expliquant être obligé de voter Rudy Gobert en numéro un tout en indiquant qu’il aimerait vous voir gagner. Est-ce la confirmation que votre cote de popularité n’a pas trop souffert de vos saisons compliquées à Charlotte ?
Ça a quand même été un virage à 180° en douze mois. Beaucoup de monde, surtout en France, me mettait à la retraite. Je n’avais même plus le niveau pour jouer en Pro A ou en Pro B… Aujourd’hui on me dit que j’en ai fermé des bouches. Mais je m’en fiche. Ce que je voulais c’est avant tout me prouver des choses à moi-même. Je savais pourquoi je n’avais pas joué à Charlotte. Entre le coach et moi ça ne matchait pas. Et cela ne m’est arrivé qu’une fois dans ma vie. Cette année j’ai repris du plaisir à jouer, dans deux équipes qui ont gagné. Et en jouant 30 minutes à chaque fois. Cela montre la confiance que les entraîneurs avaient pour moi.
Comment allez-vous faire désormais pour conserver votre trophée Alain Gilles en 2022 ?
J’espère que je serai battu. Il y a tellement de joueurs et de joueuses qui ont le talent pour. Je leur souhaite le meilleur. On sait bien que Rudy Gobert est là pour longtemps. J’espère que les joueuses de l’ASVEL vont performer. Si je peux le garder tant mieux aussi… Ce trophée c’est le plus beau que j’ai reçu.
Retrouvez l’intégralité de l’interview dans le Basketball Magazine à paraître en novembre
Après une carrière de joueuse où elle brille sous les couleurs du PUC aux côtés de sa soeur jumelle Madeleine, Jacqueline "Yako" Cator se tourne vers l'entraînement. Elle dirige notamment l'internationale Nicole Antibe à Neuilly-sur-Seine. De 1966 à 1999, elle occupe le poste de Conseillère Technique Régionale à la Ligue Ile-de-France et prend la tête de la sélection Ile-de-France féminine.
Ses obsèques auront lieu le vendredi 6 août 2021 à 11h00 en l’église Saint-Vincent-de-Paul de Clichy.
A sa famille et ses proches, la Fédération Française de Basket présente ses plus sincères condoléances.
Membre de l'Équipe de France de 1953 à 1966 (91 sélections) et joueuse majeure du Paris Université Club, Jacqueline Cator est décédée lundi 3 août à l'âge de 86 ans.
Le 23 septembre 2001, l’Équipe de France féminine remportait, pour la première fois de son histoire, le championnat d’Europe féminin en battant en finale la Russie (73-68) au Mans. Clin d’œil du destin et près de 20 ans plus tard, c’est à l’occasion du match France - Russie joué à Strasbourg dans le cadre de l’EuroBasket Women 2021 que la Fédération Française de BasketBall a souhaité mettre à l’honneur les 12 Filles en Or. L’ensemble du staff tricolore a également accompagné les joueuses sur le parquet du Rhénus Sport, avec la présence exceptionnelle de la Ministre déléguée aux sports, Roxana Maracineanu.
Derrière leur capitaine Yannick SOUVRÉ et l’entraîneur Alain JARDEL, les Bleues ont reçu l’ovation du public alsacien présent en nombre dans la salle.
Équipe de France féminine - Championne d’Europe 2001 Les joueuses : Nicole ANTIBE, Sandra DIJON, Isabelle FIJALKOWSKI, Edwige LAWSON-WADE, Sandra LE DRÉAN, Nathalie LESDEMA, Cathy MELAIN, Loëtitia MOUSSARD, Audrey SAURET, Laure SAVASTA, Yannick SOUVRÉ, Dominique TONNERRE
Le staff technique et médical : Alain JARDEL (entraîneur), Jacques COMMERES (assistant), Ivano BALLARINI (assistant), Jean-Paul CORMY (assistant), Gérard MURGUES et Gilles DOLIGE (médecins), Stéphane VOUILLOT, Giles DENIS, Jérôme BAICRY, et Sabine JURAS (kinés), Jean-Marc JEHANNO (Chef de délégation).
L’Équipe de France féminine de 2001, sacrée Championne d’Europe au Mans il y a 20 ans, a été mise à l’honneur ce dimanche à Strasbourg à la mi-temps du match France - Russie.
Le Comité d’Honneur de l’Académie avait procédé à l’élection de la nouvelle promotion au printemps dernier. La situation sanitaire n’a pas permis de dévoiler les noms des nouveaux Académiciens au cours d’une cérémonie qui se tient traditionnellement en ouverture de l’Assemblée Générale FFBB (cette année au Touquet-Paris-Plage, 16 et 17 octobre). Voici les noms des 6 nouveaux Académiciens du Basket Français, promotion 2020.
Au titre du collège « pionnier/pionnière » :
Marguerite Radideau (1907-1978) Marguerite Radideau fut athlète et basketteuse de 1924 à 1930. Elle débute l’athlétisme aux Linnet’s de Saint-Maur en 1924. Elle bat plusieurs records du Monde et participe aux Jeux Mondiaux féminins de 1926 et 1930 et aux Jeux olympiques en 1928. En basket, elle fait partie des Linnet’s à la création de l’équipe. Elle est le bras droit de Lucienne Velu et remporte trois titres de Championne de France en 1928, 1929 et 1930. Elle est Internationale au lancement de l’équipe de France FSFSF (Fédération des Sociétés Féminines Sportives de France) et participe au Championnat d’Europe 1930 à Strasbourg (Or) et au Championnat du Monde 1930 à Prague (Argent). Calme et discrète, ce n’en est pas moins une redoutable compétitrice. Elle arrête la compétition en 1931 après avoir épousé Pierre Schoebel, plongeur qui participera aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1932.
Au titre du collège « joueurs/joueuses » :
Emmeline Ndongue – Née le 25 avril 1983 Championne d’Europe 2009 et triple médaillée européenne, vice-championne olympique, championne de France à cinq reprises, vainqueur de la Coupe de France quatre fois et de la Coupe de la Fédération trois fois, de l’Euroligue en 2001, meilleure joueuse française du championnat de France en 2011…Elle compte 196 sélections en Équipe de France…Au-delà de ses qualités exceptionnelles en défense, où elle alliait taille, mobilité et intensité, elle était une joueuse d’équipe déterminante par sa motivation, son exigence et son sens du collectif. L’ampleur de son palmarès en témoigne.
Ronny Turiaf – Née le 13 janvier 1983 Bien que n’ayant jamais été médaillé avec l’Équipe de France séniors, il est, aux côtés de Tony Parker et de Boris Diaw, un symbole de l’Équipe de France des années 2000-2010. Partenaires au Centre fédéral, champions d’Europe juniors en 2000 à Zadar au terme d’un parcours épique conclu en finale face à la Croatie par un panier à la dernière seconde de…Ronny Turiaf, ils incarnent une génération ambitieuse et très attachée au maillot bleu.
A l’issue d’un parcours universitaire remarquable à Gonzaga, Ronny Turiaf est drafté par les Los Angeles Lakers en 2005. Lorsque les médecins lui détectent un problème cardiaque, sa carrière sportive semble compromise. Pourtant, 6 mois après avoir subi une opération à cœur ouvert, Ronny dispute sa première rencontre en NBA. Il effectue sa carrière en club dans plusieurs franchises de la ligue nord-américaine. En 2012, il est champion NBA avec le Miami Heat. Joueur apprécié pour son inextinguible énergie, sa volonté farouche, son engagement sans faille, il a été considéré comme un coéquipier précieux et exemplaire dans toutes les équipes au sein desquelles il a évolué.
Alain Larrouquis – Né le 15 juin 1950 Aux dires de ses coéquipiers, il ne valait mieux pas perdre aux côtés d’Alain Larrouquis…A ses qualités de basketteurs, à l’élégance de son tir en suspension, il ajoutait une haine de la défaite qui a profité à un Elan Béarnais Orthez émergeant. Le meneur de jeu adroit et déterminé accompagna le club dans son ascension vers les sommets, avant d’aller exercer son talent à l’ASVEL puis à Antibes.
Au titre du collège « arbitres » :
Jean-Claude Bois – Né le 5 février 1936 Jean-Claude Bois a découvert le basket près d’Orléans (au Cercle Laïque des Tourelles d’Olivet) mais il dut délaisser le terrain pour poursuivre ses études à l’école normale. Il retrouva le basket-ball en tant qu’arbitre. Il excella dans ce domaine et fut nommé arbitre international en 1971. Il mena une carrière exemplaire (238 rencontres internationales arbitrées dont la finale du Championnat d’Europe féminin 1982). Il s’investit également en tant que dirigeant au sein de la Ligue régionale du Centre, dont il fut le président. Il entra au Comité directeur de la FFBB en 1988 et devint Trésorier et Vice-Président (1996-2004) de la Fédération. Son accession récente au grade de Chevalier de l’Ordre National du Mérite vient consacrer une carrière exceptionnelle au service du basket-ball.
Au titre du collège « entraîneurs » :
Alain Jardel – Né le 16 juin 1946 En basket-ball, le panier contre son camp est interdit…C’est la « jurisprudence Jardel », en référence à l’astuce qui permit à Mirande de renverser un match…Pourtant, résumer Alain Jardel à ses brillants tours de passe-passe avec le règlement serait injuste… injuste pour son palmarès et injuste pour sa vision collective du basket au service de la performance. Le premier titre international majeur du basket français a été remporté par l’Équipe de France féminine en 2001. Ces douze filles en or étaient entrainées par Alain Jardel. En club, il était l’âme du BAC Mirande, qu’il conduit au sommet du Championnat de France.
Promotion 2020 Mme. Marguerite RADIDEAU (Collège Pionniers) Mme Emmeline NDONGUE M. Ronny TURIAF M. Alain LARROUQUIS M Jean-Claude BOIS M. Alain JARDEL
Les académiciens déjà élus :
Promotion 2004 : Mme Jacky CHAZALON, MM. Roger ANTOINE, Christian BALTZER, Jean-Paul BEUGNOT, André BUFFIERE, Maxime DORIGO, Hervé DUBUISSON et Alain GILLES.
Promotion 2005 : Mmes Anne-Marie COLCHEN et Irène GUIDOTTI, MM. Robert BLANCHARD, Robert BUSNEL, Richard DACOURY, Jacques DESSEMME, et Jacques MARCHAND.
Promotion 2006 : Mmes. Elisabeth RIFFIOD et Edith TAVERT, MM. Marcel BARILLE, Raphaël DE BARROS, Robert MONCLAR et Jacques PERRIER.
Promotion 2007 : Mme. Yannick STEPHAN, MM. Jacques CACHEMIRE, Michel CANQUE, Jean DEGROS, Roland ETIENNE, Henri GRANGE et l’Equipe de France Féminine – Médaille de bronze – Championnat du Monde 1934 ; Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Londres 1948.
Promotion 2008 : Mmes Georgette COSTE-VENITIEN et Catherine MALFOIS, MM. Louis BERTORELLE, Bernard GASNAL, Jean-Michel SENEGAL et M. Pierre TESSIER.
Promotion 2009 : Mme Odile SANTANIELLO, MM. André TONDEUR, Joë JAUNAY, Jean-Claude BONATO, et Jean PERNICENI.
Promotion 2010 : MM. Jacques FLOURET, Eric BEUGNOT, Antoine RIGAUDEAU, Pierre SEILLANT et l’Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Sydney 2000.
Promotion 2011 : Mme Yvonne SANTAIS-HOUEL, Yannick SOUVRE-VACHERON, Isabelle FIJALKOWSKI, MM. Philip SZANYIEL, Jacques MONCLAR, Yvan MAININI, et l’Equipe de France Féminine – Médaille d’or – CE 2001.
Promotion 2012 : Mme Lucienne VELU-CHAPILLON, Jacqueline DELACHET, Paoline EKAMBI, MM. Jacques HUGUET, René CHOCAT, Roger HAUDEGAND.
Promotion 2013 : Mme Ginette MAZELLE, MM. Emile FREZOT, Stéphane OSTROWSKI, Jean BAYLE-LESPITAU et Max MAMIE.
Promotion 2014 : Mmes Martine CAMPI et Cathy MELAIN, MM. Jim BILBA, Gérard BOSC, Wladimir FABRIKANT, Henry FIELDS, Michel RAT
Promotion 2015: Mmes Sandra LE DREAN et Colette PASSEMARD, MM. Jean-Claude BIOJOUT, Charles BOIZARD, Yann BONATO, Xavier POPELIER et Michel LE RAY
Promotion 2016: Mme Françoise QUIBLIER, MM. Robert COHU, Freddy HUFNAGEL, Jean-Pierre STAELENS et André VACHERESSE
Promotion 2017: Mmes Danielle PETER et Loëtitia MOUSSARD, MM. Louis DEVOTI, Jean-Pierre DUSSEAULX, Henry LESMAYOUX et Laurent SCIARRA
Promotion 2018 : Mmes Geneviève GUINCHARD et Nathalie LESDEMA, MM. Wladimir BOURYSCHKINE, Laurent FOIREST, Frédéric FORTE et Moustapha SONKO
Promotion 2019 : Mmes Edwige Lawson et Audrey SAURET, MM. Didier Gadou, Stéphane RISACHET et Emile TOUZET ainsi que l’Équipe de France Féminine – Médaille d’or – Championnat d’Europe 2009
Le Comité d’Honneur 2020 : M. Gérard BOSC (Président), , Mmes Françoise AMIAUD, Martine CAMPI, Jacky CHAZALON, Isabelle FIJALKOWSKI et Geneviève GUINCHARD, Jean-Claude BOIS, Maxime DORIGO, Jean DONNADIEU, Bernard GROSGEORGE, Pascal LEGENDRE et Michel RAT.
A l’issue de l’Assemblée Générale élective de samedi, Jean-Pierre Siutat, qui venait d’être réélu à la tête de la FFBB, a dévoilé au nouveau Comité Directeur, la promotion 2020 de l’Académie du Basket Français. Six nouveaux membres ont fait leur entrée officielle au sein de cette académie,. Ils rejoignent ainsi les grands noms qui constituent les 15 promotions précédentes de ce « Hall of Fame » du basket français.
Un moment traditionnel et toujours fort en émotions samedi soir à l'hôtel des Bleues à Rouen, où les coéquipières d'Endy Miyem ont reçu leur maillot pour l'Euro 2019 qui leur a été remis par Genevièche Guinchard (189 sélections), médaillée d'argent à l'Euro 1970 à Rotterdam aux Pays-Bas. Une remise effectuée également en présence d'Isabelle Filjalkoswi, ex-internationale, et présidente du Club des Internationaux, dont les activités ont été présentées aux joueuses tricolores.
Retour en vidéo sur la carrière de Geneviève Guinchard :
À quelques jours du début de l'Euro 2019 en Lettonie et en Serbie, et à la veille de leur ultime match de préparation face à la Chine ce dimanche au Kindarena de Rouen, les Bleues ont reçu de manière officielle leur maillot pour la compétition, des mains de Geneviève Guinchard (180 sélections entre 1960 et 1973).
Joueur majeur au Stade Français, Michel Bonnevie a connu dix sélections en équipe de France entre 1948 et 1950. Il a été de l'aventure olympique qui a conduit les Français en finale face aux Etats-Unis. Le Musée du Basket français lui doit l'une de ses plus belles pièces : le maillot de l'équipe de France olympique de 1948. M. Bonnevie était un témoin précieux du basket-ball français de l'immédiat après-guerre et a toujours répondu avec élégance et pertinence aux sollicitations sur le sujet. Le Musée du Basket s'associe à la FFBB pour saluer sa mémoire.
Monsieur Bonnevie avait été interviewé dans l'Espace muséal de la FFBB en 2012, en amont des Jeux olympiques de Londres.
Monsieur Michel Bonnevie, joueur de l'équipe de France 1948 médaillée d'argent aux Jeux olympiques de Londres, est décédé. La Fédération Française de BasketBall salue la mémoire d'un grand nom du basket français.
Académicien régional du basket (Ligue du Centre), médaillé d'or de la FFBB...les honneurs reçus témoignent de l'engagement pour le basket de Pierre Monnier au cours de sa carrière d'arbitre et bien au delà. Au service des instances de la FFBB ou du basket-ball de la région Centre-Val de Loire, son investissement bienveillant a marqué ceux qui l'ont cotoyé.
Le plus gros palmarès du basket français (3 Euroligue, 2 Eurocoupe, 13 titres de Champion de France, 9 Coupes de France...) avait mis les petits plats dans les grands samedi à l'occasion de la venue de Roche Vendée. Au cours d'une cérémonie en amont du match, 10 personnalités ont été intronisées au Hall of Fame du club berruyer. Qu'elles soient joueuses ou entraîneurs, elles ont toutes, à un moment de l'histoire, pris part à la légende Tango.
A l'image de ce qui se fait en NBA, et parce que leur trace restera à tout jamais gravée dans les annales berruyères, ces légendes ont vu leur numéro de maillot retiré.
Hall of Fame Tango Bourges Basket - Promotion 2018
Samedi, le Tango Bourges Basket a inauguré son Hall of Fame avec la mise à l'honneur de 10 personnalités qui ont marqué l'Histoire du club du Cher. Une grande partie d'entre elles était d'ailleurs présente au Prado pour une cérémonie d'hommage où l'émotion était au rendez-vous.
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><p lang="fr" dir="ltr">C’est un immense honneur de faire partie des <a href="https://twitter.com/hashtag/L%C3%A9gendesTango?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#LégendesTango</a> ! <br>Il y avait tellement d’émotions samedi soir ! Le numéro 14 retiré... Wow !!!<br>Merci <a href="https://twitter.com/BourgesBasket?ref_src=twsrc%5Etfw">@BourgesBasket</a> <a href="https://twitter.com/PatriceDumont?ref_src=twsrc%5Etfw">@PatriceDumont</a> <a href="https://twitter.com/PierreFosset?ref_src=twsrc%5Etfw">@PierreFosset</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/HallofFame?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#HallofFame</a> <a href="https://t.co/200JWE6HfY">pic.twitter.com/200JWE6HfY</a></p>— Emmeline NDONGUE (@Emmline14) <a href="https://twitter.com/Emmline14/status/983101339822587906?ref_src=twsrc%5Etfw">8 avril 2018</a></blockquote>
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><p lang="fr" dir="ltr"> Quand le Prado rend hommage à <a href="https://twitter.com/IlonaK10?ref_src=twsrc%5Etfw">@IlonaK10</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/L%C3%A9gendesTango?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#LégendesTango</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/Fiert%C3%A9Tango?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#FiertéTango</a> <a href="https://t.co/4a73Kk0pc1">pic.twitter.com/4a73Kk0pc1</a></p>— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) <a href="https://twitter.com/BourgesBasket/status/982724456715051008?ref_src=twsrc%5Etfw">7 avril 2018</a></blockquote>
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Longtemps une rivalité s’installa entre Paris et la province avant que Clermont-Ferrand puis Bourges deviennent hégémoniques et que le basket féminin d’élite disparaisse de la capitale.
Nos arrières grands-mères ne se reconnaîtraient pas dans les jeunes femmes qui aujourd’hui dans la Ligue Féminine courent avec trois poumons, sautent si haut que certaines peuvent dunker, se télescopent, se bousculent sans ménagement. Au début du XXe siècle, on estimait que c’est dans le sport masculin que résidait la vraie compétition faite de virilité. Le sport féminin en général et le basket en particulier étaient davantage considérés comme un loisir sain pour les demoiselles appelées à devenir des mères de famille. Il fallut attendre 1921 pour que le Championnat de France féminin s’étende pour la première fois au-delà de la région parisienne. Et c’est bien un club de province, le CA Mulhouse, qui remporta le premier titre de Champion de France FFBB en 1937. A cette époque-là, la figure reconnaissable de la discipline était une… recordwoman du monde du lancer du disque, 33 fois Championne de France, au disque bien sûr et aussi au poids, et dans différentes courses de sprint, Lucienne Velu. La Parisienne fut également la capitaine de l’Équipe de France de basket qui remporta les 4èmes Jeux Mondiaux de Londres en 1934 et fut septuple Championne de France sous le maillot des Linnet’s de Saint-Maur de 1928 à 1938. Un palmarès unique. Après la seconde guerre mondiale, la lutte entre Paris et la Province continua de plus belle avec sept titres de champion pour le Paris Université Club de Coco Briand et des sœurs Cator, deux joueuses jugées non conformistes. Faute d’argent, le PUC ne put se payer les frais de déplacement engendrés par la Coupe d’Europe et ses joueuses, fidèles à leur réputation d’intégristes, refusèrent plus tard de porter de la publicité sur leurs maillots au prétexte qu’elles n’étaient pas des femmes sandwiches.
Les Demoiselles du CUC, des célébrités
Le centre névralgique du basket féminin bascula complètement à la fin des années soixante vers Clermont-Ferrand. Tout est parti de la radiation d'Edith Tavert, l’entraîneur de l’AS Montferrand. Par solidarité, les joueuses de l’ASM, de l’équipe première aux benjamines, quatre-vingt-dix au total, décidèrent de rejoindre le Clermont Université Club, qui jusque-là ne possédait pas de section féminine. Parmi les dissidentes, une certaine Jacky Chazalon, 18 ans, qui allait devenir la meilleure basketteuse française du XXe siècle et révolutionner avec ses consoeurs le regard porté sur le basket féminin. « Notre génération fut la première à rentrer dans le basket de compétition, en acceptant de s’entraîner quatre heures par jour. Avant, à l’époque d’Anne-Marie Colchen et Edith Tavert, c’était deux fois par semaine et donc c’était plutôt du loisir », révèle celle qui était reconnaissable à ses cheveux mi-longs retenus par un bandeau et sa très grande créativité balle en main. L’entraîneur national Joe Jaunay et le docteur Michel Canque, président du CUC, eurent l’idée de rassembler la plupart des internationales françaises au sein du même club. Il y avait Jacky Chazalon, Irène Guidotti, Elisabeth Riffiod et encore Maryse Sallois et Françoise Quiblier. Les effets positifs se firent ressentir dès 1970 avec une place en finale de l’Euro, une grande première pour les Bleues. De 1968 à 1981, les Demoiselles du CUC, comme on les appelait, récoltèrent 13 titres de Champion de France et surtout se hissèrent 5 fois en finale de la Coupe d’Europe des clubs champions, l’équivalent de l’Euroligue. D’un côté le CUC écrabouilla le championnat national, enchaînant une série de 125 victoires d’affilée puis une autre de 222 ! De l’autre, il butta systématiquement en finale européenne sur le Daugava Riga de la géante Ouliana Semenova et ses 2,20m. « C’était impossible de gagner. Les Soviétiques dominaient tellement le basket mondial qu’elles auraient quasiment pu aligner cinq équipes qui auraient pris les cinq premières places d’un Championnat d’Europe ou d’un Championnat du Monde », estime Jacky Chazalon. Ce qui a rendu le CUC et sa meneuse de jeu extrêmement populaire en France, c’est que plusieurs matches furent télévisés sur la première chaîne et les Clermontoises eurent droit aussi à de longs reportages dans les journaux télévisés. Il n’y avait pas de mesure d’audience à l’époque, mais sûr que ce sont des millions de Français qui devant leurs postes de TV apprirent à les connaître et les aimer.
La montée en puissance de Bourges
Dans les années 80, le Stade Français Versailles de Guylaine Renaud eut son heure de gloire mais sa disparition conjuguée à celle du Racing fit que Paris se retrouve depuis sans représentant parmi l’élite. C’est en province que naquirent de belles aventures humaines. A Mirande, village de 3 500 habitants, un prof de gym, Alain Jardel, bosseur, malin, et capable d’insuffler à ses joueuses un esprit de guerrières genre « c’est nous contre le reste du monde », fabriqua de ses mains une équipe qui s’offrit trois titres d’affilée (1988-1990). Challes, dans la banlieue de Chambéry, fit aussi bien juste après sur le plan national et encore mieux au niveau européen puisque Corinne Benintendi et sa bande furent la première équipe française à disputer un Final Four de ce qui allait devenir l’Euroligue. C’est à Orchies, commune de 8 000 habitants, que Marc Silvert, homme à tout faire du club, façonna l’USVO qui plus tard fut transférée à Valenciennes et devint deux fois Champion d’Europe. Et c’est bien à Bourges que sortit de terre la référence suprême du basket féminin. Avec un trio de légende constitué de Pierre Fosset (président), Vadim Kapranov (coach) et Yannick Souvré (meneuse), le club berruyer remporta une Coupe Ronchetti puis trois Euroligue. Bourges avait réussi là où Clermont avait échoué : devenir champion d’Europe des clubs.
1998 : Création de la LFB
Les deux premiers titres européens de Bourges furent obtenus juste avant la création de la Ligue. Ces résultats au plus haut niveau continental, l’institution de playoffs au niveau national, la publication de statistiques, des trophées pour les meilleures joueuses – c’est ainsi qu’Odile Santaniello fut élue neuf fois MVP française, un record absolu -, un public plus nombreux, des clubs avides de développement, tout ceci avait fait monter en puissance ce que l’on appelait alors la Nationale 1A. Surtout les joueuses commençaient à gagner de l’argent. C’est Yvan Mainini, Président de la Fédération, qui fit franchir au basket des clubs d’élite un cap comme le raconte Serge Gérard : « Il y a d’abord eu une commission féminine à partir de 1992 dont j’ai eu la responsabilité. Un jour Yvan m’a dit qu’il était temps de passer à une étape supplémentaire, que l’on créé une ligue féminine, qui ne sera pas professionnelle au départ même si les filles commençaient à être payées. Il fallait un peu régulariser tout ce système. La Ligue Féminine est née en 1998 à l’intérieur de la Fédération et j’en ai été le premier Président. On voulait avoir des clubs un peu plus structurés ce qui a fait qu’après, s'est très rapidement branché le contrôle de gestion dont j’ai été aussi le Président car les deux vont ensemble. » Les clubs élurent des représentants à la Ligue qui eut pour mission d’établir des règles et de sanctionner ceux qui ne les respectaient pas. Une Directrice administrative, Monique Amiaud, fut embauchée afin de gérer la LFB au quotidien. « Elle avait un rôle important puisque je travaillais encore, j’étais directeur d’une grosse école, même si mon travail me donnait un peu plus de vacances qu’ailleurs »,explique Serge Gérard. « J’étais aussi toujours président du Comité du Nord. Je ne pouvais pas aller tous les jours à la Fédération, j’y allais minium une fois par semaine, quelque fois deux. Par la même occasion, je suis devenu responsable de l’Équipe de France féminine. » Le basket féminin français des clubs entrait dans le XXIe siècle.
La Ligue Féminine de Basket fête ses 20 ans. Tout au long de la saison, la LFB vous propose de découvrir ou redécouvrir, les faits marquants, les équipes, les entraîneurs ou encore les joueuses qui ont fait la légende de la Ligue Féminine, et plus généralement du basket féminin, depuis 20 années. Aujourd'hui, retour sur les cinq décennies qui ont précédé la création de la LFB.
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Le nouveau hall de la FFBB entièrement rénové a été inauguré vendredi par le Président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat. Cet espace totalement repensé regroupe le FFBB Store, où vous trouverez tous les produits pour la pratique du basket, et l'Espace Muséal pour redécouvrir l'Histoire de notre sport. Pour découvrir ce lieu, la FFBB vous propose une immersion en 360°.
Le nouveau hall est un espace d'accueil moderne où vous retrouverez le showroom du FFBB Store plus convivial et l'espace muséal entièrement réaménagé où sont exposées les plus belles pièces de la collection du Musée du Basket.
Ce matin, le président de la FFBB, Jean-Pierre a inauguré le nouveau hall du siège de la Fédération en présence du Directeur Technique National Patrick Beesley, de Gérard Bosc le Président du Musée du Basket, des membres du Comité Directeur et des salariés de la fédération.
C'est une légende du basket féminin qui est venue ce jeudi midi à l'hôtel de l'Equipe de France féminine, remettre leurs maillots aux tricolores. Elisabeth Riffiod, 247 sélections entre 1967 et 1980 (3e joueuse la plus capée), 2432 points marqués (2e marqueuse de tous les temps), a déjeûné avec les Bleues et leur a remis officiellement leurs maillots. Un joli clin d'oeil puisque les troupes de Valérie Garnier affornteront ce soir le Canada à Villenave d'Ornon, au complexe.... Elisabteth Riffiod.
Avant d'affronter le Canada en match de préparation ce jeudi soir, Elisabeth Riffiod (ex-internationale, 247 sélections) est venue remettre leurs maillots aux Tricolores.
Ces quatre personnalités ont reçu le Ballon de Cristal, trophée fédéral remis aux acteurs majeurs du basket français appartenant aux quatre grandes familles : Joueurs, Dirigeants, Officiels et Techniciens, pour l’engagement dont ils ont fait preuve tout au long de leur carrière. Cette récompense créée en 2005 est remise à l’occasion de différents évènements de la Fédération.
Joueurs - Ronny Turiaf Originaire de la Martinique, formé au Centre Fédéral de Basket-Ball à l'INSEP, Ronny Turiaf est de l'aventure de l'Équipe de France juniors qui remporte le Championnat d'Europe 2000 à Zadar. Il inscrit le panier de la victoire en finale et tisse, aux côtés de Tony Parker et Boris Diaw, des liens indéfectibles avec le maillot Bleu. Sa carrière professionnelle, amorcée au Los Angeles Lakers, se déroule en NBA. Il remporte le titre sous le maillot du Miami Heat en 2012. Son énergie et sa volonté phénoménales, démontrées sur et en dehors du terrain, lui ont ouvert les portes d'une riche carrière en club et en équipe nationale. Par sa constance au plus haut niveau, par sa combativité hors norme, toujours au service du collectif, il a fait honneur au maillot de l'Équipe de France.
Dirigeants - Pierre Collomb Pierre Collomb a été joueur à Antibes, en Nationale 1 (actuelle Pro A) puis en Championnat Fédéral (actuelle N2) à l'AC Golfe Juan Vallauris. Il a également été entraîneur et président délégué de ce même club. Cette implication sur ou aux abords du terrain ne l'a pas empêché de construire une riche carrière universitaire dans le domaine juridique. Il est notamment à l'origine de la création du Centre de droit du sport de l'Université de Nice en 1977. Il est aujourd'hui professeur émérite. C'est donc un mélange de passion et de savoir qu'il a mis au service du basket, en tant que dirigeant. On lui doit plusieurs décennies d'implication à la Fédération, en tant qu'élu au Comité Directeur, au Bureau Fédéral, à la tête de plusieurs commissions fédérales et à la vice-Présidence de la Fédération Française de BasketBall.
Officiels - Pierre-Yves Bichon Une main ferme dans un gant de velours, selon ses pairs. Pierre-Yves Bichon était un arbitre apprécié de ses homologues et des joueurs qui respectaient sa compétence et son autorité, affirmée sans se départir de son sourire et de sa distinction. Il a mené une remarquable carrière d’arbitre national et international. Ses obligations professionnelles ont obligé cet homme bien occupé à prendre du recul par rapport à l’arbitrage. Ce passionné de basket n’a pas quitté la famille puisqu’il occupe le poste de vice-Président de l’Hermine de Nantes, en Pro B.
Techniciens - Alain Garos Le parcours d’Alain Garos au sein du basket français est fluide. Il a gravi régulièrement les échelons, jusqu’au poste de Directeur Technique National adjoint et à la direction du Pôle Haut-Niveau de la FFBB, gagnant le respect de tous à chaque étape. Il a démontré tout au long de ce chemin que la compétence et la capacité à organiser pouvaient s’accorder avec l’attention aux autres. Calme, sagesse et fidélité ont caractérisé son action au cœur de ses responsabilités professionnelles et au-delà. Il nous a quittés cette année et nous souhaitions honorer son action.
A l’occasion des finales de la Coupe de France, la Fédération Française de BasketBall a tenu à célébrer quatre personnalités du basket français : Ronny Turiaf, Pierre Collomb, Pierre-Yves Bichon et Alain Garos pour l’ensemble de leur carrière et leurs actions pour le basket français.
Originaire du Havre, Claude Le Bitoux fait ses marques en sélection jeune en devenant capitaine de l’Equipe de France Juniors en 1948. Peu de temps après, en 1950, il honore sa première sélection internationale en Equipe de France A dans un match face à la Belgique. Son parcours sportif s’étend au domaine militaire puisque, entre temps, en 1947, il jouera au sein du Bataillon de Joinville. Enfin, après un cours passage au sein de Stade Français, il devient joueur au PUC.
Après une riche carrière de joueurs et 9 sélections internationales plus tard, Claude Le Bitoux entame de nouveaux challenges en devenant entraîneur national adjoint en 1955. Il deviendra CTR au sein de la LIFBB de 1965 à 1973 et sera en plus, en 1978, nommé Chevalier des Palmes Académiques. C’est au cours de cette même année qu’il recevra aussi la Médaille d’Or de la FFBB.
Ses actions en faveur du basket iront au delà des frontières franciliennes. Après 1973, il sera le premier et dernier CTR nommé pour la Ligue du Pacifique Sud (Tahiti) où il terminera sa carrière avec, à son compte, un ensemble d’actions ayant favorisé le développement du basket dans les Îles Pacifiques. Entraîneur des sélections de basket de la Polynésie Française, il sera médaillé aux Jeux du Pacifiques Sud avec les sélections masculines et féminines de 1969 à 1975.
Distinctions : Médaille Or FFBB en 1978 Chevalier des Palmes Académiques en 1978 Médaille d’Or FFBB en 1980 Médaille d’Or FTBB en 1987 Médaille d’Or de la Jeunesse et des Sports en 1993
Le Trophée a été présenté lors du 1er Gala des Internationaux qui s’est déroulé le 21 septembre dernier au Relais Plaza à Paris. Le Club souhaite faire le lien entre les générations et accompagner les joueurs et joueuses des le début de leur carrière. Cette récompense met en lumière le formidable parcours de jeunes joueurs potentiels et leur investissement à porter haut les couleurs de l’Equipe de France de Basket.
Isabelle Fijalkowski, présidente du Club des Internationaux, a remis le Trophée des Etoiles 2016 - Club des Internationaux - Adidas à Valériane Ayayi, Olivia Epoupa et Marine Johannes à l’occasion du match de l’Equipe de France féminine contre les Pays-Bas au Colisée de Chalon sur Saône.
Lors de cette rencontre, le coach Vincent Collet a présenté à ses joueurs la carrière de Maxime Dorigo qui a marqué les années 50-60 par son style et ses talents "d'attaquant"
Maxime Dorigo a quand a lui transmis les encouragements des membres du Club qui restent les premiers supporters de l'Equipe de France. Ils seront tous derrière les Bleus lors du TQO de manille pour une qualification aux Jeux Olympiques de Rio.
Ce fut l'occasion de présenter et distribuer la dernière série de Trading cards produites par le club des internationaux.
Jacky Chazalon a également confirmé la tenue du 1er gala des Internationaux qui se déroulera le 21 septembre prochain avec d'ores et déjà l'assurance de la présence de Tony Parker et de nombreux joueurs et joueuses toutes générations confondues.
Né à Marseille, Jean-Baptiste Ré a fait l'essentiel de sa carrière de basketteur dans la cité phocéenne. Il a évolué au SMUC de 1959 à 1969 après avoir fait ses gammes à l'Ail Endoume Catalans (1956-1957) et la Chorale de Roanne (1957-1959) avec qui il a été champion de France en 1959.
En 1963, Jean-Baptiste a été selectionné en Equipe de France pour participer au Championnat d'Europe (5e) et au Championnat du Monde (13e).
Décédé ce vendredi, la cérémonie pour Jean-Baptiste Ré aura lieu mercredi 27 avril à 11h30 chez Pincédé, chambre funéraire située en face de l'entréee du Cimetière St Pierre de Marseille.
Nous avons appris ce matin le décès de l'international tricolore Jean-Baptiste Ré à l'âge de 79 ans. Joueur emblématique du SMUC, il a porté à 26 reprises le maillot bleu. La Fédération Française de Basket-Ball adresse ses sincères condoléances à ses proches et sa famille.
Yves Gominon, né le 5 juillet 1933 à Clermont-Ferrand, a évolué dans les années 50 notamment dans les clubs de l'ABC Nantes et la Chorale Roanne. Cet ailier a fièrement porté les couleurs tricolores à 33 reprises pendant près d'une décennie (1951 - 1958). Il termina 4e du Mondial à RIo de Janeiro en 1954 et également aupied du podium olympique deux ans plus tard à Melbourne.
Ses obsèques seront célébrées le vendredi 1er avril 2016, à 15 heures, en l'église St Curés d'Ars de Beaumont (63).
L'ancien international tricolore Yves Gominon est décédé hier à l'âge de 82 ans. Yves Gominon a porté le maillot tricolore à 33 reprises et a notamment participé au Mondial de 1954 et aux Jeux Olympiques de Melbourne de 1956. La FFBB adresse ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches.